Maud
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
fépilée,
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
bourge,
... dégagea de mon étreinte et rentra dans son studio, non sans m’avoir fait promettre de « vite la rappeler ». Le jours suivant, je glissai un petit billet dans la boîte aux lettres de son kot - nous étions fin des années soixante, le GSM n’existait pas encore et le prix d’une ligne fixe aurait écorné mon budget -. Je lui proposais de passer le lendemain à mon studio pour un petit dîner aux chandelles - préparé par mes soins - en amoureux. Le soir même, je trouvais un message dans lequel elle me faisait part de la joie qu’elle aurait de venir. A l’heure dite, le lendemain, Mireille arriva et après le repas, accompagné d’une bonne bouteille de vin - subtilisée dans la cave de mon père quelques semaines auparavant, en prévision d’un tel événement -, nous nous installâmes sur le divan. Je lui passai le bras autour des épaules, elle vint se lover contre moi et l’instant d’après nous échangions notre premier vrai baiser. Nos langues se disputaient, s’aspiraient, se repoussaient continuellement, et cela durant plusieurs minutes. Ma main remonta vers sa tête. Je caressai doucement ses cheveux, le lobe de son oreille, puis je descendis vers son cou, son épaule, son bras. En remontant, je rencontrai « accidentellement » un sein. Ne sentant aucune réaction, je m’enhardis et le pris à pleine main. Puis ma caresse se fit plus douce, je me concentrai sur le téton que je sentis durcir sous mes doigts. Mireille poussa un long soupir en gémissant. Je lâchai sa poitrine et entrepris de ...
... déboutonner son chemisier. Mais sa main vint arrêter la mienne. — Pourquoi ? lui dis-je.— Ecoute, Mike, me dit-elle, je t’aime beaucoup, mais je ne me sens pas encore prête à faire l’amour avec toi.— Mais qui te parle de faire l’amour ? Nous pouvons très bien nous caresser et nous faire du bien sans plus, non ? Elle me regarda en souriant et brusquement se leva, et vint s’asseoir sur mes genoux. Elle écarta les jambes et l’instant suivant elle se trouva « à cheval » sur moi, nos deux bas-ventres en étroit contact. J’avais une érection maximum que, bien évidemment, elle sentait. Elle se mit à onduler du bassin et, à travers nos vêtements, je devinais plus que je ne sentais sa vulve se frotter à mon sexe tendu. En moins d’une minute je sentis la jouissance monter en moi. — Mireille, arrête… arrête ! Elle suspendit son mouvement et me dit en souriant : — Eh bien quoi ? Tu n’aimes pas ? Tu sais, moi aussi, ça me fait un effet terrible.— Ce n’est pas que je n’aime pas, mais j’y suis presque et… Je ne pus rien ajouter. Sa bouche vint se coller à la mienne, elle accentua la pression sur nos bas-ventre et recommença son mouvement de va-et-vient. Elle interrompit notre baiser et mit la tête sur mon épaule. Je l’entendais haleter. C’en était trop pour moi. J’étais arrivé au point de non-retour. Je sentis des picotements sur tout mon corps et mon orgasme se déclencha. En gémissant, je sentis les longs jets de sperme envahir mon pantalon. Mireille aussi respirait de plus en plus vite. J’avais - ...