Journal intimidé d'un jeune homme intime
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
prost,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
Je m’appelle Cédric, j’ai 20 ans. Je suis un jeune homme plutôt sportif, mes cheveux châtains sont assortis à mes yeux couleur noisette. Je ne suis jamais sorti avec une fille malgré mon âge. Les avances de la gent féminine furent pourtant au rendez-vous à quelques reprises, prouvant que je n’étais certainement pas dénué de beauté. Cependant ma timidité est l’obstacle le plus important à mon épanouissement de ce côté-là. Étudiant en fac de Lettres, je fais du tennis à haut niveau et ma forme physique depuis mon entrée en fac n’a jamais été aussi bonne. Beaucoup de temps libre – certes consacré au travail mais aussi aux loisirs qui me tiennent à cœur – m’a permis de m’améliorer dans mon sport favori. Cependant, quelque chose me manquait. Ce n’était pas l’amour, ce n’étaient pas les amis (j’en avais de très bons), c’était l’expérience sexuelle. Cela peut paraître sot, idiot, stupide, naïf que de ne penser qu’à ça mais l’obsession de mon premier plaisir charnel me titillait depuis plusieurs mois. Dans un premier temps, j’avais décidé de séduire une jeune fille de mon âge en essayant de vaincre ma timidité. Tentative vaine, je n’arrivais pas à outrepasser cet obstacle, cette rougeur incontrôlable non pas physique mais morale. L’élue de mon cœur n’étant ni accessible, ni disponible, je m’étais enfermé dans une sombre période de doute. Allais-je un jour pouvoir connaître l’amour ? Je suis un homme maintenant, après tout, l’enfance est derrière moi. Pourtant, je suis persuadé qu’à ...
... 20 ans, on est encore un adolescent. Incertain de lui-même, peu enclin à prendre des risques ou ne pas être assez mesuré dans ses décisions. Ainsi, un soir d’octobre, j’ai décidé de me prendre en main. C’était une soirée difficile, grève des bus et des métros oblige, je m’étais déplacé à pied depuis ma fac. Je rentrais chez moi lentement, marchant entre les piétons qui faisaient leur vie chacun de leur côté. Le ciel était tout aussi monotone que la journée, les fins rayons du soleil couchant jouaient avec les nuages épars. Arrivant chez moi, je pris le temps de poser mes affaires. Quelques secondes plus tard, je me mis à monter les marches venant vers ma chambre. Il était déjà l’heure de se mettre au travail personnel à fournir quand un événement vint perturber le programme. Mon pantalon était déformé par une bosse, celle de mon anatomie excitée. Comme presque tous les jeunes hommes de mon âge sans passé sexuel, j’avais l’habitude de me masturber consciencieusement tous les soirs, parfois rapidement, parfois plus lentement. Impossible de faire passer cette envie, il fallait la satisfaire. J’enlève alors mon T-shirt, mon jean, pour me retrouver en boxer devant le miroir. Je me regarde, j’observe mon torse imberbe. Mes pectoraux apparents forgés par le tennis sont loin de la massivité d’un bodybuilder mais n’ont pas à être dévalorisés. Mes biceps sont tout aussi bien formés. Mes jambes fines contrastent avec la bosse de mon boxer. Ma verge n’est pas énorme, elle est d’une taille ...