Journal intimidé d'un jeune homme intime
Datte: 10/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
prost,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
... se dit qu’elle vient de trouver un nouveau client. Elle dit : — Bien, quand êtes-vous disponible ? Quel est votre nom, jeune homme ? Je réponds rapidement : — Je suis libre demain soir. Je m’appelle Cédric. Violette répond : — Bien, demain soir 18 heures. J’habite sur le Vieux-Port, rendez-vous devant le carrousel. L’accompagnement pour une soirée, c’est 500 euros, tu paies au début en espèce. Tu es libre de partir quand tu veux et tu peux rester avec moi jusqu’au matin. Ma verge semble prête à exploser tellement la nouvelle est explosive. Je déglutis une nouvelle fois : — Ça marche. Je porterai un pull marron et un foulard bleu marine. Rendez-vous demain alors. Elle répond : — À demain Cédric. Mon dieu. Je n’éteins pas le téléphone tellement je suis heureux. Je vais pouvoir être dans le feu de l’action. Je vais pouvoir vivre un fantasme. Je vais pouvoir faire l’amour à une femme.Je sentis tout mon corps et transir et brûler (vers racinien,Phèdre, Acte I scène 3), citation tout à fait adaptée à la situation. Je suis toujours en caleçon. Je mets une main dans mon boxer et je prends en main ma verge. Je commence à me masturber doucement en pensant au lendemain. J’accentue les mouvements, je gémis de bien-être dans mes fantasmes. Cependant, une idée me vient à l’esprit. Je vais résister à la tentation adolescente de me masturber ce soir. Je donnerai le maximum le lendemain, du moins je l’espère. La soirée passe incroyablement vite. Mes parents ne comprennent rien à ma soudaine ...
... euphorie du soir alors que je suis habituellement plutôt ronchon et susceptible. Souriant et gentil, je m’endors rapidement après le repas. Le matin, réveil rapide. Je prends une douche, c’est mon premier réflexe habituel. Ma verge n’a pas diminué d’excitation. J’imagine le corps de Violette qui me chevauche, j’imagine la sensation de me sentir à l’intérieur d’une femme. Les filets d’eau de la douche me font revenir à la réalité. Ils cognent contre mon pénis bandé. Une fois lavé et propre comme un sou neuf, je ferme l’eau. Je me sèche, j’enfile un caleçon et m’habille d’une façon habituelle. Un jean, un pull avec un T-shirt blanc mettant en valeur un torse sportif. Des chaussures de ville. Je mets le foulard, balise de ma rencontre avec Violette. Je prends l’argent – un seul billet de 500 euros qui était bien préparé – je le mets dans mon sac. Je n’ai pas cours, j’attends. Les heures défilent, mon esprit vagabonde. Vers 17 heures, mon envie de découvrir Violette me fait décoller de chez moi. Je fais une halte à la pharmacie pour acheter des préservatifs. Je les mets dans ma poche de mon pantalon pour montrer à l’escort que je suis quelqu’un de sérieux. L’hygiène était mon principal doute avant de me décider. Arrivé au Vieux-Port, je regarde le carrousel tourner. Il est vénitien, date du XVIIIe et émet une musique enfantine. Il tourne comme mon enfance et mon adolescence ont tournoyé autour de la timidité. Aujourd’hui, j’arrête ce manège pour devenir un homme. Du moins, je vais ...