1. Un moment d'égarement


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, extracon, profélève, poilu(e)s, piscine, jardin, hsoumis, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h,

    ... tranquilles ce week-end. Je devrais recevoir la lettre vendredi et on pourrait la commenter tous les deux si tout allait bien… Mais le destin, ou plutôt la SNCF s’en mêla. Jeudi, on apprit que les cheminots avaient décrété une grève surprise. Je me retrouvai coincé à l’école jusqu’au week-end suivant. Je téléphonai à ma douce pour l’avertir, mais il n’y avait personne à 19 h. Ce n’est qu’à 22 h qu’elle répondit un peu gênée. J’étais fatigué, déçu. Le doute s’installait de nouveau. Je décidai cependant de remettre les explications au week-end suivant d’autant plus qu’elle m’annonçait la lettre pour le lendemain. Un qui était ravi de l’aubaine, c’était monsieur J. Dès le vendredi matin, il me proposa gentiment de m’héberger chez lui du samedi au dimanche. Étonné, je lui dis que j’allais y réfléchir. J’attendais la fameuse lettre. Elle était bien dans ma case courrier. Je me dépêchai de déjeuner pour aller la lire dans ma chambre. Mes attentes furent vite déçues. Comment avais-je être pu aussi naïf au point de croire que ma chérie allait me conter en détail ses frasques avec J.-P. ? Les seules choses qu’elle m’avouait, c’est être allée se baigner nue avec lui à l’étang et aussi avoir flirté, mais pas plus (tu parles !), avec lui mais que maintenant tout ça était fini et qu’elle m’attendait avec impatience pour se faire pardonner car elle avait compris à quel point elle m’aimait. Je m’attendais à plus de courage. J’étais déçu, déboussolé… j’acceptai l’invitation chez monsieur ...
    ... J… Il habitait avec son épouse une belle maison isolée et calme dans un petit village près de Chantilly. Il était convenu que c’était un week-end de détente et qu’on éviterait de parler boulot. C’est son épouse Monique, une jolie petite femme mûre, ronde et blonde qui nous accueillit à notre arrivée. Tout de suite, ils me demandèrent de les appeler par leurs prénoms. Lui c’était André. Il était petit, chauve, bedonnant avec une voix très particulière, au ton grave et enjôleur. Tous les deux étaient sympathiques. Je me sentis tout de suite bien. À cette époque, et pour avoir l’air moins coincé vis-à-vis de ma chérie, je m’étais laissé pousser les cheveux et, comme j’étais assez filiforme, disons que j’étais… mignon. Tout en déjeunant dehors, ils me firent parler de moi. Petit à petit, je me livrai et j’abordai mes problèmes de couple, mais sans trop m’étaler sur les détails. Monique me rassura : — Ne te fais pas trop de soucis. Elle a l’air de t’aimer malgré tout. Elle en aura vite fait le tour de ce type.— Vous, euh, tu crois ?— Mais bien sûr, vous n’avez eu aucune autre expérience tous les deux. Elle en ressent le besoin. C’est tout. C’est purement physique, animal. Elle te reviendra. Sois patient c’est tout. Je crus voir la petite voix personnifiée. André ajouta : — Moi à ta place, je m’inquiéterais si elle en pinçait pour un autre jeune. Tu ne l’as pas vue se laisser tourner autour par un mec de votre âge ?— Non.— Eh bien alors, comme dit Monique, il ne te reste plus qu’à ...
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