1. Un moment d'égarement


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, extracon, profélève, poilu(e)s, piscine, jardin, hsoumis, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h,

    ... avait tout juste dix-huit ans, Alain était voisin avec ses parents et elle était allée l’aider à refaire la peinture d’une porte de grange. Il faisait très chaud et Alain l’avait invitée à se reposer un peu à l’intérieur sur la paille et lui avait proposé pour se rafraîchir de boire une bière. Elle qui n’était pas habituée à l’alcool. Quand il l’avait sentie désinhibée, il lui avait dit qu’elle était mignonne, qu’elle commençait à avoir de jolies formes. Il l’avait progressivement amenée vers le fond de la grange et il l’avait basculée sur le foin. Elle avait résisté un peu, mais petit à petit il avait pris le dessus en la rassurant. Et elle avait fini par se laisser dénuder puis caresser et doigter. C’est avec lui qu’elle avait eu son premier orgasme. Malheureusement ou heureusement, ça dépend des points de vue, sa mère l’avait appelée et ils avaient dû mettre fin aux ébats précipitamment. Sa mère n’avait pas été dupe et lui avait interdit de traîner avec lui. Merci belle maman ! J’aurais pu sans doute demander à Chantal si elle savait d’autres choses sur son passé, mais ça n’était pas le moment. Chantal me dit qu’elle croyait sincèrement qu’elle m’aimait, mais qu’elle était complètement sous la coupe de Jean-Pierre. Comme moi, elle pensait que tout ultimatum pourrait être fatal à notre couple. Qu’il fallait attendre, mais quoi ? Comme moi, elle n’avait pas la réponse. Elle me dit de ne pas m’inquiéter, qu’elle allait la voir, lui parler et qu’il fallait calmer le jeu. ...
    ... Il fut convenu que j’appellerais chez elle le lendemain et qu’elle me la passerait. C’est la fin de la conversation qui me surprit le plus. Chantal me dit : « au pire, tu pourras te rabattre sur Yvette ». Cette Chantal, elle voyait décidemment tout ! Je continuai mes cours le lendemain avec notamment Monsieur J., un petit quinqua sympathique qui semblait m’apprécier. J’aimais bien ses cours. J’avais l’esprit à tellement d’autres choses que je ne remarquai pas que son intérêt n’était pas que… professionnel. Le mardi soir, comme prévu, j’appelai Chantal. Après quelques minutes, elle me dit : — Carole est là, veux-tu que je te la passe ? J’acceptai et j’attendis, j’avoue, le cœur battant… Ce fut une conversation toute en retenue. Chantal avait bien préparé le terrain. Carole me demanda timidement, et la voix pleine de sanglots, pardon d’entrée. Touché, je lui dis qu’elle me faisait beaucoup de peine, qu’il fallait qu’elle arrête de voir Jean-Pierre et sa bande, que ça pouvait être la mort de notre couple. Bref, elle encaissa ma leçon de morale presque sans broncher. Elle me promit qu’à la fin de son remplacement, elle cesserait tout contact et que d’ici-là, elle ne le verrait qu’en ma présence ou celle de Chantal si je n’étais pas là. En gage de sa bonne volonté, je lui demandai de m’écrire honnêtement tout ce qui s’était passé avec Jean-Pierre. À ma grande surprise, elle accepta sans discuter. J’attendis donc la lettre avec impatience. De toute façon on se voyait chez nous ...
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