1. Un moment d'égarement


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, extracon, profélève, poilu(e)s, piscine, jardin, hsoumis, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h,

    ... coup de soleil. Ce fut mon tour de me retrouver enduit de crème à bronzer. Mais ils le firent à quatre mains. Je me suis mis sur le ventre. Ma tête reposait sur mes avant-bras. Leurs mains passaient doucement sur mes épaules puis mon dos. Ils se mirent à me parler doucement : — Tu es très mignon tu sais… La main de Monique effleurait mes épaules… mes omoplates… remontait vers le cou mes cheveux… — Tu n’as presque pas de poils… j’adore ça…— …— Détends-toi. Laisse-toi aller… on a tout notre temps… Tétanisé, troublé, je ne savais plus. Mon cœur battait. Il fallait que je réagisse car je devinais que sinon, on irait bien au-delà des simples caresses. Ma raison me disait de me lever, de partir. Mais mon corps réagissait différemment. Dans la chaleur de l’été, dans le quasi-silence, doucement je finis par m’abandonner à Monique et André. La main d’André descendit doucement le long de mon dos. J’avais le souffle court. Je savais où elle allait. — Tu as de jolies petites fesses. De dos, comme ça, on dirait une fille. J’adore.— Allez… arrête !— Tu ne veux pas… Dis-moi.— … Monique se pencha sur moi, chercha mes lèvres. Elle murmura à mon oreille : — On a envie de toi… tous les deux. Personne n’en saura rien. André est bi. Il t’a remarqué depuis ton arrivée en stage. Il sera très doux, comme moi tout à l’heure. Doucement, j’écartai mes cuisses. — C’est bien. J’avais cédé. Pourquoi ? Sans doute le besoin de m’étourdir, de tout oublier le temps d’un week-end. Pendant que j’échangeais un ...
    ... nouveau baiser avec Monique, la main d’André était descendue prendre possession de mes fesses. Il me caressait doucement avec sa grosse main poilue et calleuse. Ses doigts vinrent effleurer doucement mes cuisses puis mes couilles. Je ne pus retenir un petit gémissement, le premier. — Tourne-toi. Montre-nous ce que tu caches… Docile, je me remis sur le dos. — Hum, mais tu bandes, petit coquin. Remarque, tu me fais bander aussi. Regarde. Je jetai un œil sur son sexe, bien plus gros que le mien, traduisant son désir. Il effleura mon sexe puis commença à me branler doucement. Monique prit ma main et la posa sur le sexe de son mari me demandant d’en faire autant. Allongé nu au soleil entouré par ce couple mûr, j’avais tout oublié et je me laissais porter par les événements. La partie pouvait commencer. Monique se rapprocha, me présentant ses beaux seins lourds à sucer. J’avais très envie d’elle, mais je savais que je ne maîtrisais pas la situation. J’avais compris que le chemin vers Monique passait par André. Pour la première fois, j’acceptais les caresses d’un homme. Et je dois avouer qu’il savait très bien faire. Sa voix, ses doigts et sa bouche formaient un ensemble sensuel parfait. Il vint goûter mon sexe. Bizarrement, ce fut le seul moment où je repensai à ma douce, en me disant que Jean-Pierre avait bien dû faire son éducation dans ce domaine. Mais les mains et les bouches de mon tourmenteur et de sa femme eurent vite faits de ne plus me faire penser à rien si ce n’est qu’au ...