1. Un moment d'égarement


    Datte: 21/07/2017, Catégories: fh, fhh, hbi, hplusag, fplusag, extracon, profélève, poilu(e)s, piscine, jardin, hsoumis, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, couple+h,

    ... avais encore pour sept longues semaines qui risquaient de ne rien arranger à la situation. Mais il fallait gérer les priorités. Et la priorité, c’était de m’accrocher à cette formation car je devais d’abord assurer mon avenir professionnel, mon avenir sentimental semblant quand même fortement compromis. Je me plongeai donc à fond dans les cours et j’attendis le soir pour appeler Chantal, ma copine coiffeuse. C’était en fait au départ la coiffeuse de ma femme. Elles étaient devenues amies. Elle était mariée et je m’entendais très bien avec le couple. Je savais que je pouvais compter sur elle et même sur eux. Chantal me raconta la fin de la soirée. Elle avait été à peu près comme je l’avais imaginée, en roulant seul dans la nuit. Chantal avait entraîné Carole, mon épouse, dans une chambre pour la soustraire aux regards et aux interrogations des autres. Yvette était venue quelques instants, mais Chantal lui avait demandé de redescendre pour surveiller la maison. Sans ses hôtes, la fête n’avait plus beaucoup de sens. Contrairement à ce que je croyais, d’autres amis s’étaient rendu compte des événements et ils avaient fait comprendre, certains de manière musclée, à Jean-Pierre et Alain que leur place n’était plus ici. Et ceux-ci avaient « courageusement » battu en retraite. Tous les amis avaient fini par partir également sauf Chantal, Yvette et leurs maris. Pendant que Chantal consolait et raisonnait mon épouse, les trois autres remettaient en ordre. Sans lui dire ce que j’avais ...
    ... vu, je demandai à Chantal ce que ma douce lui avait dit. Ce que me dit Chantal me confirma que j’avais, encore une fois, bien fait de limiter mon impulsivité. Ma douce s’était en effet contentée de dire qu’ils avaient été visiter la bergerie en travaux, qu’Alain avait emmené sa bouteille – ce qui était faux – et qu’ils en avaient bu un peu trop, sans voir passer le temps et penser que j’allais m’inquiéter. Chantal, à qui on ne la fait pas, l’avait poussée dans ses retranchements et lui avait demandé alors, pourquoi elle était sortie enlacée avec Jean-Pierre et qu’ensuite elle s’était mise dans un état pareil pour si peu. Tout juste avait-elle concédé que les deux types avaient profité qu’elle soit pompette pour l’embrasser et la peloter un peu et qu’elle avait eu peur que je les ai vus sur le coup… mais qu’heureusement il n’en était rien. J’avais donc bien fait de rester quasiment muet. Ils ne savaient rien. C’était parfait. Mais comme je suis un type réglo avec ses amis, je décidai « d’affranchir » Chantal sur la conduite de son amie. Je savais qu’elle se montrerait discrète, y compris avec son mari, et qu’elle m’apporterait conseil et appui. Je lui racontai donc tout. En retour, elle me dit que ça ne la surprenait pas, parce que Carole ne lui parlait que de Jean-Pierre depuis quelques temps. Je lui demandai aussi si, par hasard, elle lui avait parlé de son histoire avec Alain. À ma grande surprise, elle me dit que oui et m’expliqua. Une histoire assez banale en fait, elle ...
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