1. Plaisirs indécents (1)


    Datte: 11/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bas-ventre bouillonnait de plaisir, je pense que ces caresses sur mon anus auraient pu me faire jouir dans les secondes qui ont suivi s’il ne s’était pas arrêté. Il s’est redressé, il s’est positionné debout contre le lit, cette fois c’est son sexe qui était à la hauteur du mien. L’intensité de mon humidité vaginale a permis à son bâton de me transpercer d’un seul mouvement. Il est resté figé ainsi au fond de mon ventre sans bouger, sans parler, avant qu’une de ses mains glisse le long de mon dos jusque sur ma nuque. Il a attrapé mes cheveux pour tirer dessus de façon à faire basculer ma tête en arrière. Toujours sans mouvement de son bassin, son autre main est venu claquer à plusieurs reprises sur mes fesses, d’abord gentiment, puis de plus en plus énergiquement. Pour la première fois de ma vie, je recevais des fessés pendant l’acte sexuel. Il a rapidement entamé une série de va-et-vient de sa queue dans mon conduit, j’étais à la fois très surprise mais aussi très excitée d’être prise de la sorte. Il alternait fessées et caresses sur mes fesses tout en accentuant ses mouvements de hanches pour me pénétrer au plus profond à chaque butée. Son endurance était stupéfiante, ses allers-retours étaient très énergiques et je vous laisse imaginer ma stupeur lorsqu’entre deux essoufflements je l’entends me dire : — Tu aimes ca hein ? Ma petite salope ! Ça te plaît de te faire baiser comme une garce ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! Je n’aurais jamais pu accepter de telles ...
    ... paroles de la part de mon conjoint, mais là, je ne saurais expliquer pour quelle raison ces mots ne m’ont pas choquée, bien au contraire, ils ont eu pour effet l’amplification de mon excitation. Eric me faisait bien comprendre que nous étions là uniquement pour le sexe, les sentiments n’avaient pas leur place ici. En temps normal, je n’aurais jamais pu imaginer entrer dans ce genre de jeu et sans pouvoir réellement me contrôler, des mots qui n’ont jamais été à mon image se sont échappés : — Oui, vas-y, baise-moi fort ! — Mets tes deux mains dans ton dos ! Avec une de ses mains il a maintenu mes poignets croisés dans mon dos au-dessus de mes reins. Il a libéré son sexe de mon vagin pour positionner son gland devant mon petit trou. Lorsque j’ai ressenti la pression de son sexe sur mon petit anneau, je me suis manifestée : — Non pas par-là ! — Chut, laisse-toi faire ! J’étais en mauvaise posture pour pouvoir me libérer, en moins de temps qu’il le faut pour le dire, son gland a forcé le passage. — Aïe, ça fait mal ! — Ça y est, je suis dedans, le passage est fait. Je craignis qu’il entamât immédiatement des va-et-vient énergiques, mais à l’inverse, il est resté un instant immobile en moi. — Il est vraiment très étroit ton petit cul ! — Je n’ai pas l’habitude ! Après trois petits allers-retours d’une courte pénétration, Eric a libéré un cri de délivrance et j’ai pu percevoir son liquide chaud s’échapper dans mon conduit. — Ah oui, quel pied, j’ai rarement croisé un trou du cul aussi ...
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