1. Le joli mois de mai. 12ème partie.


    Datte: 11/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... car Christelle et Louise sont presque nues et leurs caresses tout à l’heure simplement coquines virent à la scène de cul. Leurs doigts inquisiteurs s’immiscent dans leurs intimités, leurs bouches échangent leurs salives et leurs mains se font baladeuses. Cuisses écartées, elles m’offrent un spectacle d’une totale impudeur et d’un érotisme qui m’excite terriblement. Le tram est maintenant arrêté, silencieux, dans la pénombre depuis plusieurs minutes. Dans mon ivresse je n’ai pas tout de suite remarqué le chauffeur qui effectuant sa tournée de contrôle de la rame nous observe. Subjugué lui aussi, le pauvre homme se régale devant le spectacle qui lui est offert. Deux femmes se gouinent dans son tram devant un mec. Quand, du coin de l’œil Louise l’aperçoit, elle se détache de Christelle et l’apostrophe : - « Bonsoir, mon gros chat ! Ça te plait ? Viens par ici ! » Il bredouille un vague rappel des consignes et du règlement, parle de la police, mais ne bouge pas, comme pétrifié. C’est Louise qui se lève et qui se plantant devant lui à seulement quelques centimètres, Pose sa main sur le sexe du brave homme, extirpe d’une main agile son sexe du pantalon, et commence à le branler. Petit, assez bedonnant, fine moustache et cheveux gris, il reste là, la bouche ouverte ne sachant visiblement pas quoi faire. Mais la nature reprend ses droits et il se met tant bien que mal à bander sous les doigts experts de cette sublime salope. Toujours en le fixant droit dans les yeux, elle agite ...
    ... frénétiquement ce sexe encore trop mou à son goût. Elle a un regard dur, dominateur, presque sadique que je ne lui connaissais pas et sous nos yeux elle finit par obtenir ce qu’elle veut du chauffeur : une bonne trique. Rouge pivoine dans son uniforme vert, il ne lui faut que quelques secondes pour exploser en longs jets dans le vide au milieu du tram entre deux fauteuils. Satisfaite mais sans se départir de son regard d’acier, Louise lui dit dans un sourire désarmant : - « C’est bien ! Comment tu t’appelles ? » - « Gérard... » - « Et bien Gérard tu peux rentrer ton tramway au garage maintenant. Ensuite tu retournes chez toi. Tu es marié ? » - « Oui » - « Et bien cette nuit, ta femme, tu la baise comme jamais ! Voilà, allez mon gros, bonne nuit ! » Puis à notre attention, elle rajoute en appuyant sur le bouton d’ouverture dans un geste de théâtre : - « Bon on y va ou quoi ? » Et nous nous sauvons en riant dans la nuit. Ce n’est que le lendemain que je me suis demandé si les chauffeurs de tram avaient eux-mêmes la possibilité d’effacer les bandes de vidéo surveillance de leur rame. Je n’en ai pas parlé aux filles, mais je ne peux pas m’empêcher de penser à cette scène quand je vois les demi-sphères noires au plafond des wagons qui nous observent dans nos transports quotidiens. La marche à pied la nuit permet de nous dégriser et nous arrivons bien vite à la maison. Toujours « énervées », Christelle et Louise se vautrent dans le canapé et reprennent là où elles en étaient avant ...
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