1. Le joli mois de mai. 12ème partie.


    Datte: 11/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chaude commence à couler et j’en profite pour aller chercher des préservatifs dans notre chambre. Quand je reviens, les filles sont sous le jet et emboîtées l’une contre l’autre se caressent lascivement. Ma femme plaquée dans le dos de Louise, promène « David » sur ce sexe gonflé d’excitation. Quand, enfin protégé je me place devant Louise, elle se dresse sur la pointe des pieds pendant que je remplace le gode par ma bite turgescente. Je la pénètre facilement tant elle est mouillée et sa bouche rejoint la mienne. Je la sens qui écarte les pieds et je comprends que Christelle commence elle aussi à vouloir la prendre aidée en cela par son ami. Enduit de gel douche il pénètre l’anus de notre rousse dont le visage comme en extase montre le plaisir qu’elle ressent à se faire prendre devant et derrière. Je sens le sex-toy manipulé par Christelle glisser dans son étroit fourreau, si près de ma bite. Quelques millimètres de chair seulement nous séparent et je me cale sur ses mouvements pour faire monter la voix de ...
    ... Louise dans des vocalises où se bousculent des mots, des râles et des gémissements de plaisir. Elle commence à onduler du bassin accentuant nos pénétrations et finit dans un cri par jouir en hurlant dans un souffle : - « Putain ! C’est bon ! » Je jouis à mon tour pour la deuxième fois en quelques minutes. Sans réelle éjaculation cette fois mais avec une folle intensité. Nous restons sous l’eau chaude encore un instant, mon sexe débande presque à regret, agité de spasmes incontrôlés. Nous nous séchons et allons nous blottir dans notre lit. Je m’endors cerné par deux corps de femmes. La mienne contre moi et notre maîtresse plaquée dans mon dos. Leurs poitrines se soulèvent au rythme de leurs respirations apaisées. Je ne connais pas leurs rêves mais je vis éveillé un des plus doux. Je sens le souffle chaud de l’une dans ma nuque et j’ai sous les yeux le visage reposé de ma femme. Je la trouve très belle, ses cheveux bouclés encore mouillés, plaqués sur sa joue. Je l’embrasse et m’endors bien vite à mon tour. 
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