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La mission de trop.
Datte: 22/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... mâchoire provoquée par l’énorme bâillon boule, Audrey était épuisée. Elle baissa la tête de honte et de fatigue. Sylvie – C’est bientôt fini pour aujourd’hui ma belle. Mais maintenant que tu es bien attachée et préparée, il va falloir que tu répondes à quelques questions. Audrey ne réagit pas. Sylvie compris cela comme un signe de capitulation. Audrey n’avait plus la force de résister. Sylvie appela Mr. Bergman Mr. Bergman apparu une dizaine de minutes plus tard. Il fut agréablement surpris de la belle préparation de Sylvie. Audrey était terriblement attirante dans cette position. Rien de plus excitant que de torturer des corps parfaits comme celui d’Audrey. Les seins mis en avant étaient délicieusement ronds et semblaient plus gros et fermes. Les bras et les jambes tendus grandissaient Audrey et la rendait plus agréable à regarder. Mr. Bergman n’avait pas de mal à imaginer les lèvres vaginales d’Audrey parfaitement symétriques, humides et écartées par, il devina, un des plus gros godemichets de la collection de Sylvie. Mr. Bergman – Je ne pourrais me passer de toi Sylvie. Tu ne cesseras de m’épater. Sylvie – Merci maître. Mr. Bergman – Tu peux lui retirer le bâillon, nous allons commencer. Mr. Bergman s’assit confortablement juste en face d’Audrey et a un petit mètre de distance. Sylvie ôta le bâillon bouche présent depuis maintenant quatre jours dans la bouche de l’agente captive. Audrey en profita pour pouvoir prononcer ses premiers mots audibles depuis sa captivité. ...
... Audrey – Vous êtes complètement malades ! Relâchez-moi tout de suite ! Je n’ai aucune informations à vous donner, je suis seulement une civile qui a voulu rentrer dans vos soirées pour profiter du luxe de votre manoir. Mr.Bergman – Que faisiez-vous dans mon bureau avec l’ordinateur allumé ? Il semblerait que nous vous avons pris en flagrant délit de vol d’informations. Audrey – Je cherchais les toilettes et je me suis égaré. J’ai été prise de curiosité en voyant la beauté de votre bureau. Maintenant laissez-moi partir. Mr.Bergman – Tu n’as pas l’air honnête avec moi, fait un petit effort. Sylvie, à toi ! Sylvie remit le bâillon dans la bouche d’Audrey et appuya sur une télécommande qui envoya deux grosses décharges dans les godemichets à l’intérieur d’Audrey. La souffrance était intense et à la limite du supportable. Audrey avait complètement oublié ce que Sylvie lui avait dit à propos des godemichets. Elle se sentait complètement à la merci de ces deux fous qui avaient le pouvoir de lui infliger une souffrance intense en appuyant seulement sur un bouton. Sylvie – C’était une décharge moyenne, imagine la décharge de force maximale. Je t’avais prévenu qu’il fallait mieux collaborer avec nous. Tu n’es pas dans une position de négocier, tu n’as pas le choix. Ne sois pas bête ! Sylvie enleva le bâillon une deuxième fois de la bouche d’Audrey Sylvie – Maintenant excuse toi d’avoit fait perdre le temps de Mr.Bergman. Audrey – Mais… Sylvie – Attention… Audrey – Désolé Mr. Bergman. Mr. ...