La mission de trop. - Histoires de Sexe

La mission de trop.

... Bergman – Mais j’ai tout mon temps et j’aime ce qui se passe, c’est juste que je ne comprends pas pourquoi tu t’obstines à ne pas me répondre. Je peux faire ce que je veux de toi. Je répète une dernière fois ma question : Que faisiez-vous dans mon bureau et sur mon ordinateur durant la soirée ? Si vous me donnez les informations nécessaires, je pourrais peut être vous laissez partir. Sinon nous allons devoir trouver d’autres moyens pour vous faire parler. Audrey – Monsieur, je ne faisais rien de sp… Une paire de claque s’abattu sur la joue gauche d’Audrey. Mr. Bergman et Sylvie ne prirent pas le temps de laisser terminer Audrey et Sylvie appela l’homme de main une nouvelle fois. Elle replaça le bâillon. Mr. Bergman – Je pense qu’elle a encore besoin d’un peu d’isolement. Cette fois ci fait en sorte qu’elle regrette vraiment de ne pas avoir parlé. Je veux que ce soit inconfortable. Sylvie – C’est comme si c’était fait maître. L’homme de main arriva, Sylvie abaissa la chaine et détacha les jambes d’Audrey. Sans étreinte, Audrey essaya de se débattre et réussit à pousser violemment Sylvie qui trébucha et se cogna contre l’armoire. L’homme de main réagit rapidement et plaqua Audrey ventre au sol en prenant les bras et les ramenant derrière le dos pour les menotter. Il en rajouta près des épaules afin de complètement immobiliser Audrey. L’homme de main laissa quelques minutes Audrey au sol pour qu’elle se calme. Il remit les menottes aux chevilles avec la petite chaine et ...

... rajouta le collier et la chaine d’un mètre pour pouvoir orienter la prisonnière dans les couloirs. Sylvie se releva et s’approcha d’Audrey Sylvie – Tu vas me le payer petite chienne. Tu n’aurais pas dû m’énerver. Audrey – uumffff Audrey essayait de parler mais n’y arriva pas. Elle regretta son geste et eu peur de ce que Sylvie allait lui faire. Sylvie – Emmène la dans la chambre spéciale. L’homme de main emmena la prisonnière dans un sous-sol sombre et ouvrit une grosse porte en bois. Il faisait froid, presque sombre et humide. L’homme de main alluma la lumière et Audrey aperçu une salle presque vide. Au milieu était fixée une structure métallique avec un godemichet fixé au bout d’une tige en fer. Audrey devina vite et avec effroi que cette structure permettait d’attacher solidement et inconfortablement une personne. Elle essaya de s’enfuir à la vue de cette structure de torture mais s’étrangla avec la chaine et tomba par terre. L’homme de main la ramassa et la posa sur la base de la structure, le ventre en direction du sol. Il encercla le bassin d’Audrey avec une première fixation qui plaquait son ventre sur la base et l’empêchait de bouger son torse. Il continua avec les bras et les mains qu’il ramena derrière le dos et les coinça dans les deux fixations prévus pour les poignets. Il referma les fixations et contempla son œuvre. Audrey était sur le ventre les bras en arrière qui faisaient un angle droit avec son dos. Il mit les deux jambes dans les espaces prévus à cet effet. Les ...