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L'amour dans les cordes (1)
Datte: 13/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... de ma ceinture qui m’attachait les pieds pour m’attacher l’autre jambe à l’autre pied. Ainsi je me retrouvais allongée sur le lit, sur le dos, les mains attachées dans mon dos et les jambes écartées. — S’il vous plait, ne me faites pas de mal. — Mais il ne tient qu’à toi de me dire ce que je veux pour que j’arrête. Me dit-il en baissant son pantalon. — Vous ne comprenez pas. Je ne PEUX pas vous dire ce que je ne sais pas. Qu’est-ce que vous ne comprenez pas dans cette phrase ? …… Non lâchez moi. Ai-je dit quand il m’a attrapé par les cheveux. Il venait de baisser son slip et …. « Ah ouais quand même ? » ai-je pensé en voyant son attirail. Sur le moment je me suis dit « quand il traitait mon mec de ‘’petite bitte’’, je comprends mieux pourquoi en voyant son machin. À côté, Antoine passe pour un enfant. Je vais me régaler avec ça ». Il a essayé de forcer ma bouche avec son gland mais il fallait que je reste dans mon rôle pour être raccord. J’ai gardé les lèvres fermées jusqu’à ce qu’il me pince le nez. Là j’ai dû ouvrir la bouche et sa queue l’a envahi. Il me tenait la tête, me donnant la cadence. Je l’entendais soupirer très fort. À un moment il s’est arrêté et m’a lâché la tête. — Alors, toujours rien à dire ? — Toujours rien. — OK …. Continuons les réjouissances alors. Dit alors en se positionnant entre mes cuisses. Je faisais semblant de me débattre et il semblait aimer ma résistance. Il n’eut aucun mal à m’empêcher de bouger complètement. Quand il a présenté sa queue à ...
... l’entrée de mon entrejambe, je lui ai lancé un « S’il vous plait. Pitié. Je vous jure que je dis la vérité ». Il m’a répondu « je n’en crois pas un traitre mot. C’est ta dernière chance. Parle ou bien …. ». J’ai fait alors la fille résignée et il m’a prise. Quand il a pris ma bouche j’avais l’impression qu’il l’avait remplie. Quand il m’a pénétré … oh bon sang je l’ai senti passer. Rien à voir avec la petite bite de mon mec. Il m’a saillie en variant la cadence, en me pelotant les seins dont le volume l’excitait au plus haut point et même en me forçant à l’embrasser en me bloquant la tête face à lui alors que je la bougeais de droite à gauche. Dès qu’il tentait une autre position, je gesticulais, faisant semblant de me débattre mais il finissait toujours par m’immobilier et reprendre de plus belle. Je devais jouer la victime et j’avoue avoir failli oublier mon rôle sur la fin, laissant échapper ici et là quelques soupirs de plaisir. À un moment, je lui ai demandé de se retirer avant qu’il ne lâche la sauce. Ce fut la seule chose à laquelle il a consenti. Il s’est retiré mais pour me reprendre la bouche de plus belle et y balancer la purée. Pour me forcer à avaler, il m’a pincé le nez et a maintenu ma mâchoire fermée. — Ah ! Bah c’était bon. C’était peut-être vrai après tout que tu ne savais rien. Dit-il alors debout à poil me contemplant comme un trophée. — C’était obligé que j’avale ? — Oui pour effacer les traces. Je t’avouerais que c’est mon premier viol …. Enfin viol c’est ...