Une nuit agitée
Datte: 22/07/2017,
Catégories:
hh,
jeunes,
copains,
vacances,
école,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
nopéné,
init,
prememois,
inithh,
... bruit, je me tournai sur le côté, cherchant une position qui me permettrait de me rendormir. Mais en basculant ainsi, je découvris un spectacle inattendu. Sur le deuxième lit, voisin seulement d’une trentaine de centimètres, Denis dormait, couché sur le dos. Son corps entièrement nu, à l’exception de la gangue de plâtre qui enveloppait sa jambe droite, était découvert, ses mouvements nocturnes ayant fait glisser le drap sur le sol de la chambre. Un réflexe de pudeur me força à fermer les yeux, mais je ne pus m’empêcher de les rouvrir rapidement. Comme devant une œuvre d’art, je me sentais submergé par différentes émotions. Sans faire un mouvement, je commençai mentalement à détailler ce spectacle qui me faisait penser à une photo de magazine. La lumière et les ombres jouaient avec les reliefs du corps de Denis. Ses paupières closes et son air détendu donnaient à son visage une douceur extrême. Ses joues et son menton, légèrement obscurcis par la barbe d’un jour, contrastaient étrangement avec la finesse de sa peau et le sourire de ses lèvres entrouvertes. Au rythme de sa respiration lente et profonde, son ventre et son torse se soulevaient régulièrement et ajoutaient à la scène une touche de calme et de sérénité. Entre ses jambes, légèrement écartées, une forêt sauvage de poils blonds enveloppait son sexe au repos et s’avançait effrontément vers son nombril. Son pénis était moins impressionnant qu’en « tenue de combat » mais trouvait joliment sa place dans le paysage. La ...
... jambe gauche de Denis offrait le spectacle d’une cuisse musclée et d’un mollet vigoureux (le vélo ?). Les boucles de ses cheveux semblaient, elles aussi, s’être détendues pour la nuit. Je ne sais combien de temps je restai ainsi à contempler ce corps offert à mes regards… Mais au cœur de son immobilité, je remarquai bientôt un léger mouvement. La verge de Denis s’allongeait, imperceptiblement, prenait du volume et amorçait, sans se presser, un très léger mouvement ascendant. Je pensai qu’il rêvait. Et je me demandai si son rêve lui faisait revivre notre promenade de la veille… Absorbé par le lent éveil de son membre, je ne réalisai pas immédiatement que Denis avait entrouvert les yeux. Ce n’était pas un rêve, mais la sensation d’être observé qui ranimait ses ardeurs. Il humecta ses lèvres d’un petit coup de langue et chuchota : — Tu ne dors pas ? Puis, s’appuyant sur les coudes, il poursuivit, sans attendre ma réponse…— J’espère que tu ne m’en veux pas pour hier… dit-il dans un souffle.— Pour hier ?— Oui… Je ne savais plus quoi te dire, après le repas du soir… Alors j’ai lâchement été dormir.— Je croyais que tu étais fâché sur moi…— Non, c’est tout le contraire ! dit Denis. C’est sur moi que j’étais fâché… Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne voudrais pas que tu fasses une fausse image de moi.— Une fausse image ? répondis-je.— Oui, l’image d’un obsédé…— C’est drôle, j’ai pensé la même chose… soufflai-je. Denis se tut et resta pensif quelques instants, les yeux au plafond. Puis, ...