1. La Muse (20)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Lesbienne

    ... dangereux, les filles ! — Non, non : on aime trop les garçons. — Ah, vous m’avez fait peur… Et c’est pour quoi, cette histoire de teinture ? Nouvelle explication sur le salon de la littérature érotique avec monsieur Georges et ses muses. — Vous êtes folles ou nymphomanes, les filles ; après tout, profitez. Vous penserez à me rapporter quelques bouquins pour agrémenter nos tristes soirées d’hiver, à Bruno et à moi. — Pourquoi, vous ne vous amusez plus ? — Si, mais cet hiver, ça va être compliqué. Elle ouvrit sa blouse et nous fit découvrir un petit ventre. — Tu es enceinte ? C’est cool ! Vous êtes contents ? — Heureux, vous voulez dire ; c’est pour ça : faites attention, ne ratez pas ça ; ce serait vraiment dommage. Ensuite, teinture. Caro était blonde comme moi. Cécile nous conseilla pour le maquillage afin que nous nous ressemblions le plus possible grâce aux différentes poudres. Il ne nous restait plus qu’à récupérer les robes au pressing, et nous étions fin prêtes. Cécile nous avait invitées chez elle pour le soir ; c’est avec joie que nous avons revu Bruno. Ils nous accueillirent dans la joie et la bonne humeur ; le sujet des conversations tournait autour de nous, surtout pour Bruno qui était intrigué par cette histoire de muses. La soirée se déroulait tranquillement ; nous n’étions même pas nus, quand Bruno déclara : — Mais avec votre histoire de salon et de muses, vous allez sans doute être amenées à vous mettre nues et faire des trucs, parce que le salon de la ...
    ... littérature érotique, c’est un peu chaud. — Il y a de fortes chances ; c’est un peu le but aussi, mettre le feu à tous ces gens, d’autant que monsieur Georges a envie de se faire plaisir. — Vous êtes complètement déjantées ; et nymphos aussi ! Dites, vous nous feriez pas une démo par hasard ? On va dire pour vous entraîner. — Ah oui, les filles ! Ce serait sympa pour lui, car depuis que je suis enceinte, j’ai de moins en moins envie de câlins, reprit Cécile. — Caro, t’es OK ? Et si tu veux, Cécile, on peut te le purger, ton mec ; nous, dès qu’il y a une queue qui traîne, on prend. Avec capote, bien sûr. — Vous voulez bien ? C’est cool… Mais vous n’êtes pas gouines alors ? — T’es fou ! Nous sommes bi, voilà tout. Et toi, tu n’aimerais pas te taper un mec une fois ? Je suis certaine que Cécile apprécierait le spectacle. — Sûr que j’aimerais bien, mon chéri, te voir te faire défoncer ton petit cul, humm… Bruno, surpris et troublé, ne répondit rien. Nous leur avons offert un joli spectacle saphique. Pendant que nous nous câlinions, Cécile chauffait Bruno. Quand il fut prêt, nous l’avons purgé plusieurs fois. Avec Caro, nous nous sommes relayées, et Bruno finit KO. Cécile s’était confortablement installée et admirait le spectacle de son mec en train de nous sauter – c’est le mot juste – tout en se câlinant la minette, puis nous avons joué avec elle. Je lui ai caressé le ventre longtemps. Je m’imaginais ce petit être, gros comme ma main, grandissant. Encore une image qui me troublait ; je ...