1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (11)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le coin salle à manger. Un couple d’une cinquantaine d’années, certainement de vrais comédiens nous interpellèrent dès le départ au moment de nous mettre à table. — Véronique, installe-toi en face de ton neveu, depuis le temps que tu ne l’avais pas vu. Dit la femme, disons ma mère de substitution. — D’accord Anne. Véro jouant le jeu en appelant la femme par le prénom de ma mère. — Véro j’ai préparé la chambre d’amis, tu verras la nouvelle literie, c’est le top. — Ah oui tu vas nous en dire des nouvelles et ton boulot ? Demanda mon père. — Ca va. Ma tante ne décrochait pas un mot, il me fallait intervenir au plus vite et elle me faisait du pied désespérément. — Véronique, tu sais que je dois faire un stage et j’ai postulé auprès d’une société dans ta région. — Ah ce serait remarquable de vous retrouver ensemble, Véro est un peu mélancolique depuis son divorce. Ajouta ma mère. — Ca n’est jamais évident mais le principal, c’est les enfants. Dit mon père en servant un verre de vin à ma tante. — Non mais si tu trouves un stage, ma porte est grande ouverte ! S’exclama enfin ma tante. — Attends, rien n’est fait. Maman, c’est absolument délicieux et j’ai hâte d’être au dessert ! Ma pseudo mère disparaissait pour revenir flanquée de quatre assiettes avec une crème anglaise assortie d’une tranche de cake. L’alcool aidant, Véronique se mît à bavarder de plus belle et en fin de repas, elle alluma une cigarette puis m’en proposa une par la suite. En coulisse si je puis dire, la femme, ...
    ... enfin l’allemande me faisait de grands signes pour que je me retire. — Bien, je vous dis à demain. — Bonne nuit mon grand ! Me lança mon père. Je me dérobais en regardant la scène ainsi que les deux spectateurs impossibles à voir avec l’éclairage. Comme chez mes parents, Anne faisait un brin de causette avec sa sœur puis au bout de dix bonnes minutes, elle rejoignit mon père dans le lit d’à côté. J’entrais à nouveau en scène. J’ouvrais la porte factice à la demande de Véronique en chemise de nuit. — Patrick…Patrick… Chuchota ma tante à travers sa porte factice. — Que se passe-t-il ? Lui demandai-je en me présentant en boxer. — Je ne veux pas déranger ta maman qui dort surement, j’ai des fourmis dans le bas des jambes et elle m’a dit qu’elle avait une pommade pour apaiser la douleur mais je ne sais pas où elle se trouve, je n’arrive pas à dormir. — Oui elle a une pommade, je vais la chercher et j’arrive. — Ah t’es super Patrick ! Bon je vais m’en mettre et j’espère que ça va me soulager. Dit-elle dans une nuisette bien transparente choisie par les organisateurs. — Bah Tatie, ce serait préférable que je te l’étale. J’y arriverai mieux que toi et tu as mal jusqu’à hauteur des genoux ? — Oui mais je ne veux pas t’embêter. Écoute je suis en chemise de nuit, alors ne regarde pas trop ! Je ne suis plus comme les filles de ton âge… Dit-elle en s’allongeant sur le lit. — Tu es dure avec toi ! Je commence par tes pieds qui sont superbes et je remonte le long de tes mollets. — Ah oui ça me ...
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