Séduction délicate de la soeur de ma mère (11)
Datte: 14/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... attendaient avec une impatience certaine la suivante. J’interrogeais l’allemande sur la soumission, elle évacuait le sujet en me disant de continuer comme nous le sentions et que désormais, nous allions nous retrouver pour le petit-déjeuner. Elle fit comprendre à ma tante qui me tenait par le bras, qu’il fallait au regard de la situation qu’elle reste en immersion totale dans son rôle, la jugeant parfaite dans ses dialogues. Véronique m’adressait un regard rempli de fierté et se retrouva en robe de chambre prête pour le second acte, avec néanmoins une pause d’une bonne trentaine de minutes avec une toilette minimaliste. L’autre couple alias mes parents se joignit à nous pour préparer la suite de ce scénario improvisé. Ma tante leurs donnait deux ou trois détails pour rendre plus crédible notre petit-déjeuner factice. Bien entendu, je mettais un certain temps pour rejoindre la pièce salle à manger- petit déjeuner dans laquelle ma mère avec sa sœur terminaient leurs cafés, mon père s’étant absenté pour une partie de pêche. — Ah te voilà Patrick ! Tu as passé une bonne nuit ? — Oui Maman, j’ai très bien dormi, Papa est déjà parti. Bonjour Véronique. — Bonjour Patrick. Dit-elle embarrassée de me voir face à sa sœur. — Bonjour Tatie ! En lui faisant la bise sur le coin de sa bouche. — Patrick, je te sers un café et je fonce prendre une douche. Véro, on se fait un coup de shopping ce matin ? — Ah oui j’ai vu un chemisier qui me plait, alors je te rejoins dès que j’ai terminé mon ...
... café. — A tout de suite. Lança ma mère en disparaissant de la scène. Nous étions en pleine lumière ce qui déplaisait fortement à ma tante. J’avoue que le matin, en guise de petit-déjeuner un café me contentait, mais voir ma tante en chemise de nuit avec sa robe de chambre entre-ouverte aiguisait mon appétence à son encontre. En croisant ses jambes, elle me laissait apprécier ses mollets fins et galbés sans le savoir. Elle était préoccupée par notre coït inconcevable d’hier soir, enfin d’il y a moins d’une heure. — Patrick, je ne sais ce qu’il m’a pris hier soir. J’avais besoin de tendresse et tu étais là. Dit-elle en jouant avec son rond de serviette. — Ca t’a fait du bien, tu as apprécié et tu te sens mieux ? — Oui enfin je me sens mieux est un grand mot. Me lança-t-elle le regard hagard. — Bon viens sur mes genoux trente secondes que je te fasse un câlin. — Ah non ! Anne est en haut dans la salle de bain et hier je t’avais dit que je le ferai qu’une fois. S’énerva-t-elle. — Allez ne sois pas sotte et viens un peu, je sais que tu en as envie. Tu as tellement aimé hier… — T’es chiant Patrick ! Tu as toujours tout ce que tu veux ! En se levant. — Attends, enlève ta robe de chambre et ouvre ta chemise de nuit. — Oh… Soupira-t-elle excédée. Ma tante se prêta de bonne grâce à notre petit manège mais quand elle se mit sur mes genoux, elle eut le temps de me chuchoter à l’oreille. — Patrick, il y a au moins huit personnes qui nous regardent, la femme nous à mentis. — Ca te gêne ...