1. Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Anal Gay

    ... et celui de duc me proférerait une distinction supérieure à la plupart des invités. Je connaissais amplement Denis et Sylvain pour ne point ignorer que s'ils avaient choisi de nous titrer, c'était qu'il fallait jouer selon son rang. Alors, tous les marquis, les comtes, les vicomtes, les barons devraient me saluer par un hochement de tête mais il restait les princes et, bien entendu, les hôtes impériaux. Le valet s'approcha de moi. "Monsieur désire-t-il se rafraîchir ou préfère-t-il se reposer?" Sans doute entendait-il par se rafraîchir de prendre un bon bain chaud et je choisis donc cette option. Il se rendit donc à la salle de bain pour y faire couler mon bain et lorsqu'il revint, j'avais commencé à déboutonner ma chemise. Sacrilège… Il s'empressa de s'approcher de moi. "Monsieur n'a pas à se dévêtir, ceci est ma charge", dit-il en plaçant mes bras le long de mon corps. Il se mit donc à me déboutonner, lentement, très lentement, les yeux posés sur ma chemise car un valet ne peut fixer un duc dans les yeux. Doucement, il fit glisser ma chemise le long de mon dos et la posa sur un cintre. Je dois avouer que ça me plaisait de savoir que ce jeune mec était à mon service et lorsqu'il entreprit de me débarrasser de mon jeans, je sentis, sur le champ, mon membre prendre de l'ampleur. Il s'agenouilla et, posément, fit glisser ma braguette, laissant entrevoir ma verge dure car je ne portais aucun sous-vêtement. Il baissa mon jeans, se retrouvant face à ma bite qui pointait vers ...
    ... son visage. Je l'observais, espérant qu'il ouvre la bouche mais non, il jouait parfaitement son rôle. En quelques secondes, je me retrouvai nu comme un ver et il ne me restait qu'à me rendre dans la salle de bain où je savais fort bien qu'il me retrouverait pour me laver. Un duc ne se lave pas lui-même. Et c'est ce qu'il fit, sans attendre. Bien installée dans la grande baignoire, il ne me restait qu'à me laisser choyer. Il empoigna une grosse éponge et doucement, se mit à la glisser sur mes épaules, ce qui n'aida pas à mon membre à reprendre sa forme initiale. J'étais excité au plus haut point. L'éponge sur mon torse me donnait plus l'impression de caresses tant il prenait son temps et de sentir son souffle sur mon cou me laissait savoir que ses lèvres étaient proches, très proches de moi. Et soudain, il se leva et se plaça à ma gauche, plongeant son éponge dans l'eau. Je la sentais parfaitement sur ma cuisse. C'est difficile de garder tous ses esprits lorsqu'un si beau mec vous caresse car j'avais bien affaire à des caresses. Je ne crois pas que les valets d'antan étaient aussi sensibles lorsqu'ils donnaient le bain à leur maître. Il était là, ne me regardant nullement mais je voyais bien que son regard s'était posé sur ma queue et je me demandai si son membre était, lui aussi, dans tous ses états, quoi qu'étant escorte, je me dis qu'une bite pour une bite ne devait plus l'exciter. Et soudain, il délaissa l'éponge et je sentis ses doigts sur mon entrecuisse et il porta son ...
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