1. Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)


    Datte: 14/06/2018, Catégories: Anal Gay

    ... frappement contre ma porte. J'invitai l'inconnu à entrer, me retrouvant, cette fois-ci, devant un colosse qui, lui aussi, me fit la révérence. "Monsieur aimerait sans doute un massage pour se détendre avant la grande soirée", me dit-il d'une voix ténébreuse, voix qui ne me surprit nullement étant donné son physique de gladiateur. Il restait là, planté sur place, attendant ma réponse. Moi, je ne pouvais qu'admirer ce titan, remerciant encore une fois Denis et Sylvain pour le choix de leurs employés. Il était tout vêtu de blanc, chemise et pantalon d'un coton léger qui laissait paraître ses formes d'armoire à glace. Sa chemise entrouverte offrait à mon regard une poitrine légèrement velue, modelée au fil des années alors que sous son pantalon, je pouvais facilement imaginer ce qui s'y cachait. "Alors monsieur, dois-je rebrousser chemin"? "Aucunement, répondis-je en me levant. Je suis certain qu'un massage me fera le plus grand bien". Il s'avança alors vers moi et m'enleva ma robe de chambre, me demandant de m'étendre sur le ventre pendant qu'il se rendait à la salle de bain pour en revenir avec une serviette qu'il déposa sur mon postérieur, ayant pris soin de ne point oublier une bouteille d'huile. Ses grosses mains sur mes épaules me procuraient une légère douleur et, par expérience sans doute, s'en aperçut immédiatement. "Monsieur est tendu. Sans doute trop de stress dans votre quotidien". "Effectivement, trop de stress mais tu me fais du bien. Un peu de souffrance ne me ...
    ... tuera pas". "Si monsieur le dit, c'est parfait alors". Je fermai les yeux, me laissant aller au contact de ses mains pétrissant mon dos. Vous me connaissez, bien entendu que j'étais en érection, surtout lorsqu'il se mit à masser mes cuisses, glissant lentement vers l'intérieur mais rien de déplacer, à ma grande déception. Je me dis alors que ce mec était réellement un massothé****ute, surtout qu'il ne s'était point débarrassé de ses vêtements. Il me demanda de me coucher sur le dos, ne prenant aucunement compte de ma queue dure. Il était réellement beau ce mec. De jolis cheveux bruns coupés courts encadraient un visage à la mâchoire carrée, des yeux marron comme je les aime, des lèvres pulpeuses sûrement agréables à embrasser. Le genre de mec que personne ne peut refuser mais qui, malheureusement, était trop professionnel pour tenter quoi que ce soit sur mon corps. Je fermai les yeux, tentant de penser à autre chose pour permettre à ma bite de retrouver une taille moins embarrassante mais rien n'y fit. Même visualiser mon comptable au bureau qui, je l'avoue, est d'une laideur telle qu'on le croirait dessiner par un enfant, ne parvint pas à me défaire de mon érection. "Si monsieur veut bien reprendre place sur le ventre". Je m'exécutai, presqu'heureux de ne plus l'avoir dans ma mire. Pendant quelques secondes, plus rien. Je ne sentais pas ses mains sur mon corps, m'interrogeant du pourquoi il avait cessé mais il reprit, glissant ses mains sur mon dos, prenant appui contre mes ...
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