Le 31 décembre, on défonce à fond (Partie 1)
Datte: 14/06/2018,
Catégories:
Anal
Gay
... reins juste avant d'enlever la serviette qui cachait mes fesses. Il les massait comme s'il modelait une statue, les écartant légèrement pour les refermer, me laissant avec cette envie démesurée de me faire prendre par cette bête. Ma rosette humide n'en pouvait plus mais je devais prendre sur moi-même. Bien entendu que j'aurais pu lui ordonner de tout arrêter mais je prenais un trop grand plaisir à ce massage qui était tout sauf reposant. Le visage bien enfoui dans la taie d'oreiller, les images ne cessaient de naviguer dans ma tête. Jamais je n'avais été aussi excité sans pouvoir me libérer de cet éréthisme qui embrasait tout mon corps. Pour la première fois de ma vie, un mec me tripotait sans que j'en vienne à m'en faire baiser et c'était quasi-insupportable. Sans doute suis-je masochiste car pas une seule fois je ne lui dit de s'éloigner, de quitter ma chambre. Et le comble du comble se produisit. Soudain, je senti sa peau contre la mienne. Il était étendu de tout son long contre mon corps et il bougeait de telle sorte que tout son poids massait mon dos. Sa large poitrine velue glissait sur ma peau huilée et sans m'y attendre, il se plaça de sorte à ce que sa queue puisse effleurer mes fesses. Il était donc nu et je n'avais qu'une envie, c'était de me retourner pour admirer cet a****l mais son amas de muscles s'imposait par lui-même de sorte que je ne parvenais plus à bouger un membre. Il détenait l'avantage et il en profitait. Il persistait dans ses gestes, exécutant une ...
... danse sensuelle contre moi. Je pouvais imaginer l'ondulation de ses hanches chaque fois que sa verge durcie effleurait mes fesses mais il prenait grand soin de ne point me l'enfoncer alors que mon trou de balle implorait de se faire défoncer à grands coups. Je pouvais maintenant sentir son souffle chaud contre mon cou et ses lèvres qui frôlaient ma peau en ébullition. La cadence de ses hanches s'amplifiait, sa danse devenant libidineuse. Son excitation équivalait la mienne et je la percevais par sa queue qui voulait s'enfoncer entre mes fesses. Doucement, il écarta mes cuisses et enfin, ma truffe se vit presser par son gros gland. "Monsieur aimerait-il que je laboure son champ", me demanda-t-il, ne me laissant point le temps de répondre, me pénétrant d'un seul coup, sachant bien que mon berlingot n'attendait que cela. Enfin, il me libérait de ce supplice par sa queue qui allait et venait en moi à grands coups de je t'aime comme on dit au Québec. Et subitement, il quitta mon popotin et m'obligea, de ses gros bras, à me lever alors qu'il prenait place sur le lit, la queue bien droite, prête à me farcir à nouveau. Sans me faire prier, je plaçai mon cul de sorte à positionner ma pastille et je m'enfonçai d'un seul coup son phallus avant d'exécuter mes mouvements de hanche de sorte à profiter au max de son membre. Et par grand bonheur, je pouvais le regarder, voir son beau visage dont les yeux marron me fixaient, estimant sans doute qu'il s'acquittait parfaitement de sa job. "Si ...