1. Le journal d'Aureline 2


    Datte: 16/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Lesbienne

    Cher journal,La semaine dernière, je t’ai relaté ma première rencontre avec Maîtresse F. Nous en étions restés au point où elle réservait sa réponse, quant à savoir si elle se chargerait ou non de mon éducation. Depuis, j’ai reçu un mail.--------------------------------------------------De: Maîtresse F.A: AurélineSoumise Auréline,Ta candidature a retenu l’attention de Madame. Nous t’attendons, samedi prochain à quatorze heures. Sois ponctuelle.Même tenue que lors de ta dernière visite : chemisier blanc, jupe noire et bas assortis. Si tu déjeunes avant de venir, prends une légère collation.Prévois également des affaires de toilettes, tu nous consacreras tout le week-end.Maîtresse F.--------------------------------------------------Je pense avoir fait mon choix. Je préfère Madame. Maîtresse me rappelle trop l’école. Maîtresse, Maîtresse, j’ai mal à la tête. Je peux aller à l’infirmerie ?Reprenons le récit à la journée de samedi. Je suis devant la porte de l’immeuble. J’ai aussi peur que lors de la première fois, sans doute parce que toute cette aventure prend un aspect très sérieux et que j’ai le sentiment d’avoir atteint un point de non-retour.A ma grande surprise, un homme vient ouvrir. Aussitôt je baisse le regard avant de murmure :- Bonjour Monsieur. Je suis attendue par Madame.L’homme est grand, musclé, les épaules larges. Il porte un costume noir avec l’élégance d’un professeur de danse italien. Sous les cheveux gominés, le visage n’est pas très beau, le nez épaté, les ...
    ... joues tavelées de marques d’acné mal soignée mais son large menton et ses yeux vifs lui confèrent un certain charisme. Je sais déjà que, s’il le désire, je ne serai qu’un jouet pour lui.- Suis-moi, dit-il.Je l’accompagne jusqu’au petit salon ou Madame F. m’accueille. Je la salue. Elle porte un ensemble noir, une sorte de tenue de cavalière, pantalon, bottes et bustier. Un décolleté en V dévoile le sillon entre ses seins.- Javier ne s’est sans doute pas présenté, dit-elle. Je vais donc le faire à sa place. Il assure les fonctions de chauffeur et d’homme à tout faire. Tu devras lui obéir en tout, sans discuter, lorsqu’il te dira de faire quelque chose, comme si je parlais à travers lui.Elle lui fait un petit geste de la main : « Javier, vous pouvez disposer. »Un moment de silence et de gêne. Je me balance d’un pied sur l’autre sans trop savoir quoi faire. « Déshabille-toi, qu’est-ce que tu attends ! » Soulagée qu’elle ait attendu que Javier sorte de la pièce, je retire mes affaires et les pose sur une chaise. Maîtresse F. me fait signe d’approcher. Devant moi, trône sur un coussin rouge, un collier en cuir. Très beau. Sur le devant un gros anneau métallique en forme de serpent. De nouveau l’Ouroboros, comme pour le bijou que Maître J. m’avait offert. Sur la nuque, le collier ferme avec un petit cadenas. Il y a quatre autres accessoires en cuir, basés sur le modèle du collier, pour les poignets et les chevilles. Je suppose que l’on peut assembler les deux bracelets pour en faire ...
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