1. Le journal d'Aureline 2


    Datte: 16/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Lesbienne

    ... ». Il faut que ce soit un mot peu utilisé et assez court. Une idée ?- Azur, Madame.- Très bien. Sais-tu à quoi fait référence le terme « débourrage » ?- Oui Madame, il est relatif à l’élevage des chevaux.- Dans ce cas tu n’auras pas de mal à filer la métaphore avec moi. Disons que tu es une jeune jument que nous allons habituer à supporter le licol et la selle et, pour finir, la monte.Je frissonne à l’écoute de cette phrase qui implique pour moi une forme de menace sourde. Je crois pouvoir accepter d’être attachée, fouettée peut-être, mais je ne sais pas comment je réagirai si je dois m’exhiber ou que Maîtresse F. fouille à nouveau mon intimité, d’autant plus que ce qu’elle laisse entendre va beaucoup plus loin. Je m’imagine, les yeux bandés, touchée, pénétrée par des mains et des sexes inconnus. J’éprouve un mélange étonnant de désir, d’appréhension et de répugnance.- Il existe deux méthodes pour débourrer les chevaux, reprend Maîtresse F. La première consiste à monter l’a****l sans aucune préparation et le forcer à supporter la présence du cavalier sur le dos et la seconde, plus progressive, nécessite d’habituer le cheval au contact d’accessoires diverses, comme la brosse par exemple, pour l’amener à accepter la selle et la bride dans un premier temps. Pour ma part j’emprunte une voie médiane, comme tu vas pouvoir le constater. Je m’adapte à la pouliche. Tu m’as déjà montré ton obéissance. Nous pouvons donc passer à l’étape suivante sans hésiter. Pour commencer, nous ...
    ... allons te montrer l’utilité des bracelets. Tu vas devoir passer une épreuve et il sera plus facile pour toi d’être immobilisée pour l’endurer.Maîtresse F. m’indique une certaine position que je dois prendre, debout, les bras joints devant moi, les reins creusés. Elle accroche mes poignets à l’anneau dans le mur. Elle me dit d’écarter les jambes et place une barre en métal fixée aux chevilles pour les maintenir écartées.- Regarde, voici le premier accessoire auquel ton corps va devoir s’habituer.Elle vient de saisir une longue cravache noire dont elle agite l’extrémité juste sous mon nez. D’instinct, je recule et les entraves me font perdre l’équilibre, déclenchant des sensations douloureuses aux poignets et aux chevilles. A peine ai-je le temps de me reprendre que Maîtresse F. presse la cravache sur ma gorge agitée par l’angoisse. Elle descend, effleure la pointe de mon sein gauche avec la claquette. La sensation n’est pas désagréable, le téton se dresse sous la caresse. Mes dents mordent mes lèvres. Etrange de noter qu’un instrument de punition me procure du plaisir. La cravache explore mon ventre en cercles concentriques. Jusqu’où va-t-elle aller ? Non, elle évite le pubis. Elle passe de l’autre côté, sur la nuque, longe la colonne vertébrale et finit par suivre l’arrondi des fesses. Je ne tremble plus, je suis sage et immobile.- Passons à l’ustensile suivant.Maîtresse F. me montre une longue baguette en bois. « C’est une badine en rotin, dit-elle. A la fois très souple et ...
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