1. Premier dialogue


    Datte: 16/06/2018, Catégories: inconnu, telnet, cérébral, revede,

    ... vitales, sans être celles d’un mannequin, semblent être harmonieuses. Elégance naturelle est mon verdict. Je regarde à ta gauche, l’homme affalé sur son siège. C’est tout le contraire, habillé sans recherche, il est maigre et sec, très dégarni et ne doit pas être plus grand que toi.— Tu n’es pas très loin de la vérité. Si ce n’est que je n’ai pas une coupe au carré, mais, en ce moment, une queue de cheval. Comment as-tu fait ?— Intuition… Je m’enhardis, ma main gauche commence à remonter le long de ta cuisse caressant ta jambe à travers ton collant (je n’ose espérer que tu es en bas et jarretelles). Tu continues à fixer l’écran. La pression de ma main se fait plus forte, elle enveloppe ta cuisse, mon petit doigt est arrivé à l’entrejambe de ton collant (je ne me suis pas trompé !). Je n’ai rencontré aucune résistance, mais jusqu’à présent aucun encouragement, quand soudain, je sens tes jambes s’écarter ta main saisir mon avant-bras et le serrer fort, comme pour lui dire oui. Dans le même temps, tu déplies discrètement ta veste qui vient maintenant davantage te recouvrir afin que mon bras ne soit plus visible. Mais la position est inconfortable. Je ne peux progresser davantage sans sortir mon bras de dessous ta veste et te mettre en danger si ton mari se réveille.— Continue…— Je sors mon bras délicatement de dessous ta robe, et repositionne, moi- aussi, mon imperméable posé sur les genoux. Ainsi camouflé, je reprends mon exploration avec ma main droite cette fois-ci. Sans ...
    ... hésiter, tu ouvres tes jambes pour me faciliter la tâche, et très vite mon index est à la place atteinte précédemment par ma main gauche. Je force un peu, mon doigt sent enfin ton intimité à travers tes sous-vêtements. Malgré l’épaisseur que représentent collant plus slip, ton excitation ne fait pas de doute. Mais il est difficile d’aller plus loin avec une telle barrière. Je jette un regard vers ton mari qui dort toujours profondément. En passant je te regarde, mais ne peux accrocher ton regard, tu as fermé les yeux et visiblement tu n’écoutes plus que les sensations de ton corps. Tu te glisses lentement dans ton fauteuil, les fesses au ras de celui-ci, tu rajustes ta veste afin de mieux nous camoufler et écartes encore les jambes. Je décide alors de m’enhardir. Ce collant nous gêne. Un coup d’ongle bien placé, et j’accroche une maille, puis déchire toute la couture. Tu es surprise, mais très vite, tu viens à la rencontre de mes doigts. Engouffrant ma main dans l’ouverture ainsi pratiquée, je peux appliquer la paume sur ton sexe, et, à travers la fine étoffe de coton de ton slip qui est trempé, je sens les contours de ta fente.— Continue…— Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu te masturbes ?— Non, j’attends la suite avec impatience.— Mes doigts écartent ton slip et découvrent une toison fine et humide, mon index glisse dans ton sexe chaud et palpitant avant même que j’ai eu le temps de contrôler sa progression. Tu te cambres aussi discrètement que possible, tu retiens visiblement ...