1. Samia et Nadia


    Datte: 16/06/2018, Catégories: fh, ffh, jeunes, copains, neuneu, intermast, Oral pénétratio, portrait,

    ... se calme, et se replie sur moi pour m’embrasser le cou. Après, c’est au tour de Nadia. Elle se met à quatre pattes au milieu du lit, moi, je suis à genoux, et Sylvie me guide en elle, par derrière, en levrette. Je lui donne des coups francs, au plus profond, en prenant un grand élan à chaque fois. Elle gémit, crie, me dit d’aller encore plus fort. Sylvie se glisse sous Nadia, ramène sa tête jusqu’à mes couilles et se met à les lécher. Son con arrive au niveau de la tête de Nadia qui enfonce tout son visage dedans. Nous restons un bon moment ainsi. Cinq, dix minutes, peut-être plus, il n’y pas d’horloge pour minuter. Ça crie, ça gémit, ça se balance, ça s’agite, ça vibre, le lit crisse, la lune, pauvre solitaire, nous observe par la fenêtre. Quand je sens la décharge arriver, je sors de Nadia et Sylvie se ramène prestement pour tout prendre dans sa bouche. D’un mouvement de gorge, elle avale tout tandis que Nadia, avachie, s’allonge sur le lit, fermant les yeux et serrant les mains autour des ses seins. Après le départ de Nadia et Sylvie, j’entends à nouveau Samia et Vincent en bas. — Oui, oui, dit Vincent, c’est beau, c’est beau, vas-y, enroule la langue, enfonce-la encore dans ta gorge, vas-y, Samia, vas-y, c’est bon, c’est bon… Attention, là je vais venir, je vais venir, ça y est, putain… c’est beau ! Un moment après, elle lui dit : — Ça t’a plu ?— Oui, c’est génial !— C’était ma première fois !— Cela promet ! ---oooOOOooo--- Le vol Paris-Tunis décolle à 16 heures ...
    ... d’Orly. Tonton Karim a tenu à nous déposer, il est accompagné par Zozou. Ils nous laissent devant la grande aérogare et disparaissent aussitôt dans la foule compacte des voitures. En partant de la maison, sa femme, la très douce tante Annie, a laissé échapper quelques larmes. Elle m’a promis qu’elle viendrait passer quelques jours à Tozeur, le printemps prochain. Pendant que nous faisons la queue pour l’enregistrement des bagages, Vincent et Sylvie nous rejoignent. Vincent me prend en aparté. — Je pense que je viendrai te voir à Tunis dans quelques jours, me dit-il.— D’accord !— Tu hésites encore, non ?— Je suis encore très déchirée !— Qu’est-ce que je vais devenir sans toi ? Samia ? Tu joues avec ma vie !— Je sais Vincent, mais il y a Tahar qui m’attend à Tunis, que dois-je lui dire ? J’ai failli pleurer, ne sachant quoi lui dire de plus. Il s’est tu également. À l’approche de la police des frontières, là où nous devons nous séparer, nous nous faisons un long baiser bien mouillé, salé par les larmes qui se déversent de nos yeux. Dans l’avion, je pense à Tahar et à Vincent. Je me trouve affolée, n’arrivant pas à me décider. J’aurais aimé les avoir tous les deux, mais bon, c’est absurde. Un instant je penche vers Tahar, que je connais depuis le début de la fac. Il est gentil et cultivé, il termine bientôt ses études de commerce et il va devoir chercher un boulot. Mais après, je penche vers Vincent, avec tout l’amour qu’il m’a montré ; en plus, il m’offre une vie à Paris avec plein ...