Samia et Nadia
Datte: 16/06/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
copains,
neuneu,
intermast,
Oral
pénétratio,
portrait,
... choisir, n’arrive pas à se décider. Ce n’est pas pour me calmer. Ma main savonnée parcourt mon corps transis ! Je caresse longuement mes petits seins en pensant à Tahar, puis à Vincent ; à Vincent, puis à Tahar. Qui des deux me ferait le plus trembler ? Qui des deux me ferait le plus frémir ? Ma main glisse plus bas, elle balaie mon ventre replet, s’arrête au-dessus de mon secret, se frotte à sa toison bouclée. Un doigt se fraie un petit chemin vers l’intérieur, entre les grandes lèvres charnues. Il veut aller plus loin, mais il butte sur la petite membrane encore tendue. Je frotte plus fort, je gratte, j’agite, j’arrache, jusqu’à me sentir comme une braise. Je suis prise par un spasme, je frétille comme un poisson sous l’eau qui coule, je gémis de plus en plus fort. — Ça va, Samia ? me crie Tahar en frappant sur la porte, la voix inquiète. Je ne lui réponds pas ; je saute hors de la douche comme une folle, l’eau coule toujours. J’ouvre la porte et je le trouve devant moi, hébété de me voir toute nue. Sans attendre, je le pousse sur le lit, ma main déjà sur sa braguette. Je sors sa queue endormie, je la frotte avec mes mains mouillées et je la prends dans ma bouche, comme si j’allais manger une merguez après une grève de la faim. Rapidement, elle se réveille, alors que son propriétaire, ne comprenant pas ce qui lui arrive, me regarde avec des yeux de plus en plus curieux. Il doit se dire que ...
... suis devenue folle. Je m’allonge et j’écarte les jambes, légèrement fléchies. — Vas-y Tahar, vas-y, je ne peux plus attendre ! Vas-y, je t’en prie… Je ne vois plus que des nuages, des formes floues, des cercles concentriques qui s’éloignent et qui se rapprochent. J’entends des mugissements, des cris lointains, j’entends des vagues que charrient des océans perdus. Et puis vient le petit déclic. Je sens la membrane qui craque, et une toute légère douleur entre les jambes. Je sens la queue tendue m’occuper, m’envahir, me remplir. Je serre les jambes autour de Tahar et je pousse mon ventre vers lui. — Vas-y mon amour, vas-y chéri, encore plus fort, encore plus fort, s’il te plait. Lorsqu’il jouit, je sens la coulée chaude dans mes entrailles, comme une huile chauffée. Je le serre encore plus et je l’empêche de sortir. Nous restons ainsi un moment, collés l’un sur l’autre, en parfaite harmonie. Je me retourne sur lui, il me serre entre ses bras, je mets ma tête sur son torse velu, des petites larmes glissent sur son ventre et se logent dans son nombril. Nous ne sortons pas manger. Nous passons la soirée dans le petit lit, tout nus. Nous nous observons en silence, nous explorons nos corps. Notre seule autre activité, c’est de se partager une cigarette de temps en temps, et une barrette de chocolat suisse que j’ai ramenée de Paris. Combien de fois avons-nous fait l’amour cette nuit-là ? Je ne sais plus.