1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (16)


    Datte: 16/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Elle buvait mes paroles, ses yeux roulaient de gourmandise ; elle m’envoya un hochement approbateur accompagné des petits miaulements et de gémissements qu’elle est la seule à savoir faire dans ces moments-là. Je lui parlais à deux centimètres de son visage en serrant les dents, ma main gauche sur son sein droit, et de l’autre je fouillais sa moule gluante. — Je vais continuer à t’appeler Justine : ça fait très… sadien, tu ne trouves pas ? Et toi, tu vas m’appeler Maître. Je pouvais apercevoir dans le fond de ses yeux pétillants son envie grandissante ; elle avait gardé son air coquin et aguicheur. Elle était loin de se douter de ce que je lui réservais ; dans ma tête un scénario s’échafaudait. Pour commencer, je lui ôtai l’usage de la parole avec un bâillon-boule ; un foulard sur les yeux noué derrière sa nuque la plongea dans le noir. Ainsi équipée, elle perdait toute notion de l’environnement ; elle était à ma merci. J’avais eu ce sentiment, hier, attaché, bâillonné et muet, un sentiment de soumission à la fois inquiétant et délicieux. Je la fis s’allonger sur le sol. Elle me présenta ses poignets comme pour me dire « Attache-moi. » Je décidai d’être original : je l’attachai et la pendis par les pieds au système ingénieux de poulies et de câbles reliés au treuil, celui que j’avais inauguré la veille. Une fois hissée, ma petite esclave d’un jour avait les fesses et son intimité juste à bonne hauteur ; ainsi je n’avais pas besoin de me contorsionner pour lui introduire ...
    ... tout ce que je voulais dans son intimité toujours dégoulinante decyprine. Accroupi devant elle, je prenais un malin plaisir à passer mon sexe tendu sur ses yeux masqués, sur tout son visage et ses seins dont j’équipai les tétons de ces délicieuses pinces lestées de poids. Au moment où je laissai les pinces se refermer, elle poussa des cris et des grognements, mais étouffés par le bâillon. Ses fesses attiraient mes mains comme un aimant ; armé d’un paddle, j’en administrai quelques coups sur ses fesses bien rondes qui, sous les chocs devinrent roses, puis rouges. Elle gémissait et se tortillait comme un ver au bout d’une ligne ; elle mouillait toujours plus. En fouillant dans les placards à jouets érotiques, j’avais découvert une sorte de string visiblement réservé aux femmes. Soigneusement rangé dans un coffret, il était composé d’une ceinture en cuir fermée par un cadenas, de deux godes vibrants fixés à unebande de cuir cousue sur la ceinture, et d’une télécommande permettant de commander les godes. Ce jouet magnifique me fit regretter l’espace d’un instant de ne pas être une fille. Je lui ai tout d’abord introduit le gode anal dans le vagin de façon à le lubrifier : pourquoi utiliser un gel alors que j’avais ce qu’il me fallait à portée de main ? Une fois bien enduit, je plaçai le gode anal dans son anus déjà entraîné à recevoir toutes sortes d’objets. Le gode destiné à sa chatte entrait en même temps. Elle ondulait à souhait, ses gémissements étaient sensuels ; visiblement, ...