Justine, Jérôme, Rex et la famille. (16)
Datte: 16/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... elle prenait beaucoup de plaisir. Je lui ôtai son bâillon pour mieux l’entendre car j’adorais quand elle couinait ou quand elle susurrait, d’une voix douce et sensuelle, des « Ah, ouiii, encore… » Une fois de plus, elle me foutait une trique d’enfer. Je terminai de mettre en place la ceinture, bien serrée autour de sa taille, et la verrouillai avec le cadenas ; il lui était devenu ainsi impossible de l’enlever. Une terrible envie de la baiser me vint. Je lui dis : — Justine, suce-moi ! Elle ouvrit la bouche en grand. J’enfournai mon pieu jusqu’au fond de sa gorge puis je la pistonnai. Sa langue sur mon gland et ses dents (car elle me mordait parfois) firent monter en moi une envie d’éjaculer. Je sentais le moment où j’allais lui remplir la bouche approcher à grand pas, alors pour la motiver j’enclenchai les deux vibros à fond. Elle se remit à gémir, et au moment où je lui inondais la bouche, je vis son ventre se contracter. Elle fut prise de spasmes qui m’indiquaient qu’elle était bien en train de jouir tandis qu’elle avalait mon sperme. Ne voulant pas la laisser dans cette position inconfortable, je décidai de la retourner. À l’aide du treuil, je la fis redescendre et s’allonger à même le sol. J’ai ensuite permuté ses liens pour la remonter vers le plafond ; c’est à ce moment-là que j’ai enfin arrêté les vibros. Je savais que cette position était plus confortable ; elle m’en remercia : — Merci, Maître, c’était super ! — Je doute que tu apprécies la suite, petite ...
... dévergondée ! lui répondis-je en saisissant un chat à neuf queues. aklaqqbm À la vue de l’instrument, elle changea de couleur et devint rouge : — Non, pas ça… Pitié, Maître… — Tu veux arrêter ? Dommage. — Non… enfin si … non ; faites de moi ce que vous voulez. — Je préfère ça. Alors prépare-toi, tu vas aimer. Je me rappelais la veille où j’étais à sa place, à cet instant où elle m’avait fouetté. Elle connut le plaisir du fouet ; elle gémissait à chaque coup. Quand je faisais une pause, elle me suppliait de continuer encore plus fort. Ses fesses et le bas de son dos devinrent très rapidement rouges avec des stries plus violacées ; elle serrait les poings, se cambrait et rugissait quand je lui mettais un coup de vibro. Quand la température de son petit cul eut atteint un degré raisonnable, malgré ses supplications je décidai de cesser ce jeu sadique. Midi approchait ; il fallait que je mette mon plan à exécution. Dans la penderie je trouvai une magnifique tenue de soubrette du même style que celle que mon esclave m’avait fait porter la veille, à la différence qu’elle était extrêmement courte au point de dévoiler son derrière au moindre mouvement ; maman ne devait plus la mettre depuis longtemps car elle était assez petite. Après avoir détaché ma sœur, augmenté la vitesse des deux vibros, joué avec les pinces à tétons et malaxé ses seins, elle eut un nouvel orgasme qui la fit crier de plaisir, puis je retirai les pinces. Je lui donnai les vêtements qu’elle devait porter et l’abandonnai avec ...