1. Les amours mortes (3)


    Datte: 17/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... était bonne. Sa grande carcasse alanguie avait bien mesuré cet impérieux besoin de s’envoyer en l’air. Le gout amer de la chose ne venait que du fait de sa parenté avec l’amant en question. Tout le temps de ce coït démentiel, elle avait voulu ignorer les liens étroits tissés entre lui et elle, mais la raison la rattrapait et bien plus vite qu’un cheval au galop. D’où cette affreuse perception d’avoir transgressé un véritable tabou. Quelque chose que son esprit aurait voulu refuser, mais que sa chair, trop faible, avait accepté et surmonté aisément. Restaient donc à faire s’accommoder cerveau et corps, pas une mince affaire en vérité. Enora appréhendait la lumière du jour qui n’allait pas tarder à revenir. Et avec son arrivée la laideur de ce qui venait de se passer, accrochée à son visage, perdue dans ses yeux. Cette faute allait avoir les traits pourtant aimés de ce fils qui maintenant dormait sans états d’âme particuliers. Comment allait-elle pouvoir allier son amour filial et celui moins noble de cette partie de jambes en l’air avec Evan ? Parce qu’au fond d’elle, elle sentait, elle percevait que c’était mal de s’être ainsi livrée à ce genre de fantaisie avec son garçon. Puis de l’autre bord… le souvenir de cette jouissance sans nom… inouïe. Finalement sa raison vacillait, son esprit se débattant entre le mal et le bien ou plutôt le bon. Et ses paupières lourdes se fermaient sur son méfait. Dormait-elle depuis longtemps ? Aucune notion de l’avoir fait longuement, juste ...
    ... une tension extrême et le jour qui se coulait par les interstices de persiennes. Puis une douceur bizarre, une caresse, un souffle qui lui courait le long de l’échine. Dans les brumes de ce reste de sommeil si peu réparateur, confusément elle comprenait que ce qu’elle sentait n’était plus vraiment un rêve. Et sa main partant en arrière trouvait le corps collé contre elle. Du reste, ce que cette menotte rencontrait sous sa paume, n’avait rien d’un songe. C’était dur, chaud et ça se frottait allégrement sur ses fesses. Elle voulait ouvrir la bouche, crier que non. Dire son refus et en lieu et place de ces mots qu’elle pensait, un borborygme indistinct se répandait dans le silence de la chambre. Sur son derrière, la trique tentait de se frayer un passage, à petits coups de bassin. Evan bandait à nouveau et comme ça, au sortir d’un moment paisible, comment repousser ces avances trop précises ? Elle ne savait plus trop quoi faire et puis… elle devait s’avouer que cette chose qui coulissait dans la raie de son cul… lui renvoyait des signaux… plus que chauds. Elle commit une erreur en tentant de refouler la bite qui se rapprochait dangereusement de sa chatte. Celle de l’effleurer suffisamment pour laisser penser au jeune homme que son sexe était le bienvenu, pour ne pas dire attendu. Et dans ce mouvement maladroit pour se dégager, il lui fallait bouger aussi le corps, même si ce n’était que très peu. Et là, la queue ardente qui depuis son réveil frappait à la porte se trouvait d’un ...
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