Les amours mortes (3)
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... coup face à cette ouverture désirée. Le dernier coup de reins eut le dernier mot. Et désormais planté en elle, Evan la cramponnait par les hanches. Il remuait sans faire de longues amplitudes et son dard en place lui électrisait le corps. Sa bouche venait se plaquer dans le cou de la femme qu’il prenait. Enora était à nouveau une victime consentante. Et sa chair alertée la trahissait une fois encore. C’était elle qui remuait maintenant sa croupe, mais par vraiment pour chasser l’intruse. Non ! Elle se liquéfiait sous l’intromission et se rendait à l’abandon de cette anatomie qui aimait ce qui se passait. La chambre se remplissait de leurs soupirs mélangés. Le pistonnage se fit plus rude, plus âpre aussi et les sons que la gorge maternelle laissait échapper ressemblaient à des cris sauvages. Ceux d’une femelle en rut, d’une femme qui prend un plaisir fou à se laisser emporter par un torrent de sensations retrouvées. Et il faisait jour, donc plus question sauf en gardant les yeux clos, de ne pas apercevoir le visage de ce garçon qui la baisait fougueusement. C’était toujours aussi bon, aussi câlin. Et une idée folle lui traversait l’esprit. Comment pourrait-elle désormais se passer de cela ? Comment ferait-elle pour revivre aussi longtemps sans ce sexe ? — oooOOooo — Le visage tourné du côté du mur, la tête plongée dans son oreiller, Enora ne dormait pas. Elle avait les yeux grands ouverts et sur son flanc, invisible d’elle, le garçon qui venait de finir de la besogner ...
... zébrait le silence revenu de son souffle. Il l’avait amené à une jouissance qui l’avait rendue indolente et vide. L’insolence de la jeunesse, la fougue des jeunes hommes, tout concourait à la rendre dépendante de cette bite qui venait de la labourer. La seule différence de ce couple étendu là, mais elle était de taille, résidait dans l’essence même de cette relation incestueuse. Un tabou difficile a digérer pour Enora. Pour Evan, la transition n’avait pas tout à fait les mêmes effets dévastateurs sur son raisonnement. Pour lui cette femme était maintenant plus une femme qu’une mère et il avait franchi le cap de la honte sans frémir. Ce corps alangui qui se trouvait tellement offert, si proche de lui, il lui semblait qu’il se devait de l’honorer. Il était sur le dos, le regard fixé sur le plafond. Tous les deux se retrouvaient dans une nudité sans fard et sur le bas du ventre, le vit ramolli par son éjaculation récente ressemblait à un oiseau tombé du nid. De sa main gauche, il revint effleurer l’épaule de la brune qui se contentait de suivre la ligne d’un lé de papier peint. Elle était belle dans cette plénitude d’un petit matin frisquet. Sur la peau doucement caressée, une multitude de petits points, tous les pores de son épiderme sans doute se soulevaient en une chair de poule immense, qu’elle songeait agréable. Puis la main refit un voyage sur le cou. Elle remontait vers le lobe de l’oreille accessible. Enora eut un sourire. Ce petit con avait déjà compris que cette zone chez ...