1. Les déboires d'Eddy


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, cérébral, Transexuels Masturbation hsodo,

    ... se voulait gouailleuse, mais son ton reflétait la fierté qu’elle éprouvait. D’un geste décidé, elle avait viré drap et couverture. La main s’était emparée de la virilité de l’homme. Elle la manipulait, la soupesait tout en commentant comme un maquignon l’aurait fait avec une vache. — Pas mal ! Une certaine élégance dans la ligne. La longueur, c’est pas ça ! Mais bon, la bonne dimension du chapeau et l’épaisseur de la tige compensent ! Bien raide ! Réactive ! Tout en parlant, elle continuait son auscultation. Eddy ne l’écoutait pas vraiment. Yeux fermés, il tétait avec ferveur ses pointes surdimensionnées. La lourdeur et la mollesse de ces seins lui permettaient en les comprimant d’une main d’avoir les deux mamelons dans la bouche… en même temps. Il avait la bouche pleine. Ça et les caresses vétérinaires de la mamie lui donnaient une trique d’enfer. De sa main libre, il avait forcé la (très) maigre résistance des jambes serrées. Ses doigts accédèrent au buisson grisonnant. Pas les grandes eaux. La vieille devait être ménopausée mais il y régnait une humidité de bon augure. Ses doigts butèrent entre les grandes lèvres pendantes. Difficiles à rater. Il n’avait jamais joué avec des lèvres aussi grandes. Tout semblait hors norme chez cette nana. Il s’amusa à les étirer encore un peu plus en les pinçant entre son index et son pouce tandis que son majeur s’introduisait plus profond dans la foufoune. — Mais c’est qu’il sait y faire, le cochon ! Tire bien sur mes lèvres ! C’est bon. ...
    ... Mais c’est qu’il me mord les nichons ! Pas trop fort ! J’suis pas une vache ! Comme ça, c’est mieux ! Juste du bout des dents ! Une parleuse. Pas vraiment son trip, m’enfin, il suffisait de ne pas l’écouter ! Surtout qu’elle ne faisait pas que causer. Le traitement qu’elle infligeait à sa queue et à ses couilles le rendait de marbre. Soudain, il se retrouva la bouche vide. Lulu bougeait. Il ouvrit les yeux. Elle l’avait enjambé. La blouse reposait au pied du lit. Elle le débarrassa prestement de sa chemise de nuit. Après qu’il se soit positionné plus favorablement dans le lit, elle lui présenta, à quelques centimètres de ses lèvres, sa motte rebondie. Elle lui léchait la bite. La langue grande ouverte, baveuse parcourait sa bite, l’enveloppait ; la pointe lui titillait le méat, le forçait. Puis le membre agile repartait, bavait jusqu’à ses couilles. Dans le mouvement, les grosses mamelles moelleuses aux mamelons d’acier enserraient son ventre dans un chaud étau. Eddy s’abandonnait, totalement passif, à ces caresses divines. Il fut sèchement rappelé à l’ordre. — Dis, mon gars ! Ça te gênerait pas de participer ? Mon clito se sent un peu seul ! La honte. Sa langue partit à la recherche du bourgeon d’amour. Là encore, Lulu était hors norme. Il n’arrivait pas à trouver son clitounet. Il dut y mettre les doigts. Il le trouva enfin et le saisit entre le pouce et l’index ; un petit machin ridicule au faîte de la moule. Il parvint à le décapuchonner et l’attaqua de la pointe de sa ...
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