Cet homme
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
strip,
vidéox,
photofilm,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
gifle,
fouetfesse,
confession,
regrets,
fsoumisah,
... insultes qu’il me lance. Quand il se redresse, je me caresse. Il part en me laissant là, pleine de désirs, me signifiant qu’il a pris son pied et que mon plaisir n’est pas son problème. Cette vision des choses me fait jouir en deux minutes. Lorsqu’arrive l’heure d’aller à l’aéroport, il m’embrasse sur la bouche en partant me laissant néanmoins ce goût amer d’échec sur la langue. Il n’a plus l’air de tenir à ce que je le vouvoie, l’appelle Monsieur ; son détachement des choses et surtout de moi qui voulais tant être sa petite soumise manque une nouvelle fois de me faire pleurer. Je file dans la salle de bain pour enlever chacun de ces maudits poils… à la pince à épiler. La tâche s’avère longue et fastidieuse, mais au moins elle chassera de ma tête les idées noires. Je garde mon portable à côté de moi, au cas-où. Il m’envoie un message pour me demander comment je vais, toujours très cordial mais surtout déprimant sans la petite touche d’affection qui me faisait tant chavirer. Je termine ce travail titanesque en une heure, impatiente qu’il me prenne comme il le souhaitait réellement. Je profite de ce moment solitaire pour appeler Céline. — Alors, c’était bien ?— Sexuellement, génial. Mais le reste… Il a changé, il est super froid avec moi, j’ai l’impression de l’agacer à chaque chose que je fais ou dis comme s’il me faisait clairement sentir qu’il valait mieux que moi. C’est très castrateur, je me sens super mal du coup. En plus, je suis loin de chez moi.— Oh non… ça craint ...
... là. Et tu trouves pas qu’il profite de toi ? Ça se passe mal mais vous le faites quand même ?— Oui, c’est un peu au-delà ça. Je ne sais pas, il y a une grande alchimie sexuelle mais pas sentimentale, en tout cas pas de son côté. Je suis tellement déçue…— Pauvre bichette ! Reviens dans ce cas-là !— J’attends qu’il se passe quelque chose. Que ça s’arrange peut-être. Je crois que je me voile la face.— Putain mais non, te laisses pas abattre à cause d’un manche à couilles. Je ris. J’ai l’impression de n’avoir pas connu cette sensation depuis des siècles. — Ça se passait si bien entre nous…— Ouais, ben oublie et reviens. Il est juste dégueulasse il sait pas ce qu’il veut. Les libanais on peut pas leur faire confiance.— Céline…— Ta grand-mère te l’a dit aussi !— Ma grand-mère, elle est raciste, toi t’as 23 ans.— Et alors. Promets-moi de ne plus coucher avec lui.— Promis.— Tu t’en fous de ce que je dis, dans 2 h il te traitera comme une merde. Je vois pas comment tu peux aimer ça.— J’aime ça, c’est tout.— Cochonne ! J’éclate de rire. Parler avec elle me soulage, enfin une voix familière qui me fait sentir en confiance. Lorsqu’il ouvre la porte d’entrée, je suis dans le canapé en train de bouquiner. — Ça a été ?— Oui, mes parents étaient contents de me revoir. Ils m’ont demandé de rester manger avec eux, mais je ne voulais pas te laisser seule.— Oh, c’est très gentil. Mais tu pouvais y aller, surtout si tu ne les as pas vus depuis longtemps, j’ai largement de quoi m’occuper ici.— Je ...