Cet homme
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
telnet,
fsoumise,
hdomine,
strip,
vidéox,
photofilm,
pénétratio,
fsodo,
coprolalie,
sm,
gifle,
fouetfesse,
confession,
regrets,
fsoumisah,
... préférais rentrer. Au fait, il ne faudrait pas qu’on oublie de prendre tes billets de retour. Il m’apprend alors comment on commande les billets de train sur internet. Je suis contente qu’on partage quelque chose, même si ce n’est qu’un passage sur le site de la SNCF. Il ne fallait pas que mon bonheur dure trop longtemps ; au moment où je lui souris enfin sincèrement depuis mon arrivée, il jette : — Lundi ça irait ? Demain c’est peut-être un peu tôt. Je m’effondre intérieurement. Je savais qu’entre nous ce n’était pas l’amour fou mais de là à me faire repartir illico chez moi, qui plus est, en feignant de me demander mon avis… — Oui, très bien. Je cache tous les sentiments qui me traversent en ce moment même, revoyant toutes les choses que j’aurais pu dire ou faire de mal. Est-ce à cause de la valise que je n’ai pas voulu qu’il porte ? Est-ce que ma voix en vrai est complètement différente de celle au téléphone ? Qu’est-ce qui le fait fuir à ce point… Lorsque quelques minutes après il me montre un épisode deDeath Note et que je chantonne sur la musique, il me lance : « ne sois pas puérile… », je me sens minable. Je me retrouve là, bêtement tétanisée, à ne plus savoir quoi dire de peur de le froisser. Je me déteste, j’aimerais être une autre personne, une femme qu’il aimerait réellement, pleine de qualités qu’il saurait apprécier. — Prends-moi dans tes bras s’il te plaît…— Qu’est-ce qui ne va pas ?— Qu’est-ce qui cloche chez moi ? Je laisse échapper quelques sanglots sur ...
... son épaule. — Oh… mais rien. Je suis aussi très déçu que ça n’ait pas marché, mais c’était le risque. Je ne pourrais pas avoir une vie de couple avec toi. Ça ne s’explique pas forcément.— D’accord… Ne t’en fais pas, je m’en remettrai. C’est juste que j’avais commencé à avoir quelques sentiments pour toi.— On ne se connaît pas Anne, tu ne peux pas dire ça. Encore une fois, j’ai l’impression de le décevoir. Mais les mois qui vont suivre me montreront qu’il avait tort. Nous nous mettons ensuite sous la couette et il s’endort paisiblement. Il est 14 h et je suis dans ses bras, au paradis malgré le contexte. Son odeur me berce et m’emmène au pays des rêves où avec plaisir, j’y rejoins un autre monde où il n’aurait jamais existé. Le réveil est difficile, comme un coup de poignard me ramenant à la dure réalité des événements. Lui dort toujours. Je me retourne pour essayer de retrouver mon bonheur onirique, simple et artificiel, quand je l’entends maugréer : — Tu m’as réveillé… Calme-toi un peu ou lève-toi, mais ne me réveille pas. J’ai envie de le gifler et surtout de fondre en larmes. Je déteste me voir comme ça, faible et impuissante face à mes sentiments. J’ai perdu tout contrôle de la situation, il n’y a rien que je puisse faire qui le rendrait heureux ou amoureux de moi à nouveau. Je décide de faire mon deuil maintenant, pour réduire les jours de tristesse et affronter l’évidence. Quand il se lève, nous nous activons un peu pour aller manger au macdal. Ce qui me fait penser au ...