Ablation de grains de beauté
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
médical,
Collègues / Travail
cérébral,
noculotte,
Oral
fsodo,
... tendresse d’abord, puis avec férocité. Elle m’a mordu la langue quand j’ai forcé son cul avec deux doigts. * * * Nous nous sommes vus de temps en temps, uniquement pour baiser. Elle venait chez moi, vêtue ultrasexy mais toujours avec classe. Elle était belle, bien sûr, mais un peu trop mince à mon goût. Chez une femme, j’aime bien en avoir plein les mains. Mais son comportement de femelle ayant le feu au cul m’excitait toujours autant. Alors un jour je suis allé à son cabinet, à dix-neuf heures, sans la prévenir. Je n’étais pas certain qu’elle serait là, mais j’avais une telle envie de la baiser que j’ai tenté le coup. Je suis quand même venu avec une rose à la main. Dix minutes après mon arrivée, elle est sortie de son cabinet avec un patient. Elle m’a aperçu, est restée figée trois secondes, puis m’a demandé d’attendre deux minutes. En effet, quelques petites minutes plus tard, la porte s’est entrouverte et elle m’a appelé sans se montrer. Je suis entré en refermant derrière moi, la fleur à la main. Elle était derrière la porte, entièrement nue, avec juste des escarpins aux pieds qui lui allongeaient les jambes. Elle s’est collée contre moi, m’a tendu ses lèvres pour un long et profond baiser. — Merci pour la fleur. Tu as bien fait de venir, je suis en manque. D’ailleurs, j’ai failli t’appeler.— T’es pas croyable… Me recevoir entièrement nue dans ton cabinet !— Ça te plaît, offerte comme ça pour toi ?— Salope ! Tu fais toujours des trucs pour me faire bander. Sais-tu ...
... pourquoi je suis venu ?— Non, aucune idée. Dis-moi, a-t-elle répliqué avec un sourire mutin aux lèvres.— Pour te baiser sur ta table d’examen !— Tu ne serais pas un peu pervers par hasard ?— T’es gonflée ! C’est toi qui as voulu que je te prenne ici. Elle a ignoré ma réplique et a pris un air sérieux pour m’annoncer : — Tu tombes mal, j’ai mes règles.— Ah bon… Tu viens pourtant de me dire que tu es en manque. Elle a ri en s’échappant vers la salle de soins. Elle a ouvert un tiroir, en a extrait un tube de vaseline. Avec l’air amusé de celle qui va faire une grosse bêtise, elle a commenté : — Pour une fois, ça va servir à autre chose de bien plus agréable que d’habitude ! Puisque tu meurs d’envie de me baiser, je vais t’offrir mes fesses…— Tu peux le dire mieux que ça ?— Je vais t’offrir mon cul : tu vas m’enculer ! Ça te tente ?— Oui, ça me tente d’enculer une praticienne dépravée dans son cabinet. C’est ça qui t’excite ?— Énormément, tu n’imagines pas à quel point ! Elle a ouvert le tube de vaseline, s’est mise de dos en se courbant pour déposer une noisette de crème sur son anus. — Ça fait longtemps que j’y pense, et c’est toi qui vas prendre mon cul ; j’ai envie de ta bite, bien profond comme tu dis ! Puis elle s’est accoudée sur la table de soins en cambrant les reins pour bien faire ressortir son derrière. J’ai voulu la prendre de face : je voulais voir son visage en m’enfonçant dans son cul. — Pas comme ça. Assieds-toi dessus face à moi, je veux te voir.— Eh bien, tu es ...