1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... à tout nettoyer de ses seules mains. Sidonie l’observe, comme si elle apprenait comment faire. Elle devine bien qu’elle passera aussi par cette étape. Pendant qu’elle lave, ma sœur tente de se débarrasser de cette odeur immonde. Je souris, me marre même. Je crois que je l’ai vexée, j’adore. Dans le salon, un verre à la main, je regarde Sidonie. Elle semble captivée par cette folle de province. Nue, en rampant, elle vient baiser mes pieds. Je la fais se dresser, j’ai encore envie de pisser, mais sur son crâne, sous le regard brillant de Sidonie. Je ne la quitte pas des yeux du temps que je pisse. La langue tirée, ma folle essaie de me boire encore. Sidonie s’approche, prend ma queue pour mieux asperger cette femme gironde. Sa bouche sur la mienne, nous nous embrassons. « Me faudra-t-il en passer par là, Maître ? » « Seulement si en éprouve le besoin, comme quand tu me léchais mon cul. » « La totale donc ! » « Je ne fais pas dans le compromit. Avec moi, c’est tout ou rien, je préfère tout. » « Moi aussi, monsieur. » Je l’embrasse encore, ces aveux donnent ce gout si particulier à ma belle que je n’ai qu’une envie, la baiser sans compromit. Nous libérons ma folle, la nuit est tombée, comme à chaque visite, elle n’a plus de train pour rentrer, c’est dans la cage de Sidonie qu’elle passera la nuit. Isabelle, enfin propre, nous délaisse pour de coupables plaisirs solitaires dans sa chambre à coucher. Dans mon lit, Sidonie est baisée comme lapetite pute adorable qu’elle désire être ...
    ... et qu’elle est. Au matin, après avoir tout nettoyé, tout rangé, ma folle me donne mon enveloppe, je n’ai pas besoin de contrôler. Elle aurait trop à perdre si ce n’était pas la somme convenue. Après son départ, Sidonie à genou devant moi, je lui donne mes instructions. Pour commencer, mettre de la pommade sur son corps trois fois par jour, elle fait merveille sur les hématomes. Ensuite, dans l’entrée, je lui installe une chaise peu confortable près du téléphone, un carnet et un crayon. « C’est ta place en dehors de toutes les tâches ménagères. Ici, tu prends tous mes appels, gère mes rendez-vous. Devant toi, le dossier de chacune de mes clientes, la liste de mes tarifs. Mais avant, tu vas quitter ce monde, démissionné de ton emploi ou de tes études pour ne plus vivre qu’avec et pour moi. Tu me donneras tous tes papiers que je les enferme dans mon coffre. Ta seule liberté, dès ton retour, c’est moi, uniquement moi. Suis-je assez clair ? » « Oui monsieur mon Maître. C’est aussi ce que je désire le plus. Comment dois-je annoncer cela à mon père, Votre frère ? » « Pas un mot, le silence. Du reste, tu ne prends rien, sauf tes souvenirs, ceux dans ta tête. » « Bien monsieur mon Maître ! » Je la renvoie chez elle en lui donnant la semaine pour tout faire. Elle sait que la prochaine fois qu’elle franchira ma porte, ce sera comme entrer dans un couvent avec pour seul but de me servir et me subir. Je profite de ma semaine pour faire un meilleur aménagement de mon temps. Je commence par ...
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