1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (3)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Elle m’avoue m’aimer dans une fellation dont elle a seule le secret, merveilleuse. Jamais, vous entendez, je vous prends à témoin, jamais plus je ne la torturerai comme ce samedi de mars. Son corps boursoufflé de partout me fait encore plus mal qu’elle ne souffre. Pourtant, je jouis dans sa bouche. Je la couche, la couvre de mon affection. Le corps ruiné, une fatigue excessive, elle s’endort. À mon réveille, elle porte encore toutes les traces de ses supplices. Elle me porte mon appareil photo. Je la prends sous toutes les coutures. J’en fais un montage, une sorte de mini-film. Il n’y a que son visage que je n’ai pas touché et je m’en voudrais bien de le toucher, si ce n’est pour le caresser, l’embrasser. Dans ma salle de bain, en douceur, je lave son corps, le soigne encore, apaise ses douleurs encore bien présente. Isabelle débarque, m’engueule comme du poisson pourri. Sidonie lui rendre dans le lard, bille en tête. Elle prend ma défense et elle la niaque pour clouer le bec de ma délicieuse petite sœur. Pour m’avoir insulté, grondé, elle connait le prix à payer, le martiner sur ses seins bien fermes encore. Elle se plie à notre loi, la même pour toutes mes clientes. Je me lâche encore, ne me retenant pas. Isabelle est debout devant moi, torse nu, ses mains dans son dos et compte. Elle compte jusqu’à vingt avant que je n’arrête, que je masse cette poitrine, masturbe son sexe par-dessus son pantalon. Ce pantalon dont elle sait que je déteste voir ça sur le corps d’une ...
    ... femme. « La prochaine fois, j’ajoute une règle qui interdit le port du pantalon, un short court et moulant à la rigueur. Sinon, jupe et robe uniquement ! » « Applique cette règle dès ce jour, mon grand frère, je l’accepte d’avance. » « Moi aussi, Maître, je propose même que jupe et robe devront être très courte, mi-cuisse étant la longueur maximum. Pour les robes, qu’elles s’ouvrent que sur le devant et facilement. » « Sidonie, tu me plais et mon frère a bien de la chance. Tu sais ce que j’attends de toi ? » « Oui Maîtresse, ma plus grand dévotion. Je crois l’avoir prouvé hier soir. » Ma sœur n’a pas de réponse, c’est assez rare pour que je souligne. Sur sa jolie petite bouche, je dépose mes lèvres. Malgré ses douleurs, elle m’enlace tendrement, ma petite nièce. Quand elle se libère de moi, c’est pour mettre un petit tablier rouge et nous servir une bonne bière. Nous allons sur le balcon quand on sonne à ma porte. Merde, je l’avais oublié, la folle de province, c’est elle ! Sans se démonter, Sidonie va ouvrir. « Monsieur mon Maître est sur sa terrasse, veuillez me suivre. » Elle m’épate ma petite Sidonie. Ma folle de province découvre le corps meurtri de Sidonie. Je ne sais pas ce qu’elle en pense, mais elle est tout pâle en se mettant à genou à mes pieds, ses mains sur le sol. « Avoue tes péchés, salope ! » La liste n’est pas longue, mais assez pour qu’elle mérite la cage. Ce n’est pas la même que pour Sidonie. Oh, elle est encore plus petite, tout juste la place pour se tenir ...
«1234...»