1. L'invitée (partie 3) - La troisième nuit, ou


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Masturbation Sexe Interracial, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... et elle me toise d’un air froid et distant. J’en suis quelque peu peiné car nous avions passé la soirée de la veille à discuter de tout en parfaite entente et son attitude actuelle érige comme une limite nouvelle à notre relation amicale. Mais bien souvent l’amitié ne pèse pas lourd face à la tentation.- Ca ne te regarde absolument pas, me rétorque-t-elle, win dakhlek ?- Ah ça c’est ton mec c’est sûr, réponds-je d’un ton enjoué, comment il va ? Il s’appelle comment. ?- C’est pas « mon mec », comme tu dis, c’est presque mon fiancé et il va bien. Il s’appelle Nabil.- Et Nabil sait que sa « fiancée » a passé toute la soirée d’hier en tête à tête avec un homme ?Sawsen s’arrête à nouveau d’écrire et continue à regarder l’écran sans mot dire, elle semble troublée par ma présentation des évènements de la veille.- Je n’ai pas passé la soirée en tête à tête avec un homme, me reprend-elle, j’ai passé la soirée à discuter avec le mari de ma copine. Il n’y a pas de mal à ça, je suis sure que ça ne dérange pas Nabil.- Tu joues sur les mots, je suis le mari de ta copine et je te garantis que je suis un homme, donc on a bien passé la soirée en tête à tête. Et tu dis que tu es sure que ça ne le dérange pas, j’en déduis qu’il n’est pas au courant, pourquoi tu ne lui dit pas, juste pour être certaine que ça ne pose pas de problème ?- Non je ne lui en ai pas parlé, me répond-elle, parce qu’il n’y en a rien à dire, on a discuté et on s’est souhaité bonne nuit. Ce serait bizarre de mettre ça ...
    ... sur le tapis, ça laisserait croire que j’ai quelque chose à me reprocher…- Et tu n’as rien à te reprocher donc il n’y a pas de problème, raconte lui juste ta soirée.Tout en discutant avec elle j’écarte subrepticement les jambes jusqu’à ce que mon mollet touche le tissu de sa robe. Tout en insistant sur le fait que n’ayant rien à se reprocher elle devrait donc pouvoir en parler librement j’effectue le dernier mouvement qui vient coller ma jambe à la sienne. Je vois ses doigts se crisper sur le clavier et son dos se redresser immédiatement. A peine ai-je le temps de sentir la chaleur de sa peau à travers les deux épaisseurs de tissus qui nous séparent qu’elle décale légèrement sa jambe pour rompre le contact. Je m’étais arrangé pour que mon mouvement ne parut pas prémédité mais anodin, même si je sais en mon for qu’elle n’est pas dupe. Je continue donc, l’air de rien, à argumenter lourdement sur le fait que si on n’est pas coupable de quoi que ce soit on n’a rien à cacher, débat philosophique intéressant en soi et dans lequel, pour ma bonne cause, je défends une position contraire à mes idées réelles. Je me fais la réflexion qu’elle s’est laissée prendre dans la conversation et semble avoir moins de réticences à discuter avec moi, j’ai déjà remarqué que chez certaines personnes l’intérêt d’un débat contradictoire peut l’emporter sur l’aversion qu’on a à parler à certaines personnes et, chanceux que je suis, Saoussen semble être l’une de ces personnes. Tout en continuant à gloser ...
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