1. Enfin elle a cédé (4)


    Datte: 21/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    Après ce simili viol librement consenti, la vie de vacances a repris mais Martine avait quand même assez honte d’avoir pris autant de plaisir, je l’ai rassurée en lui affirmant que j’avais toujours rêvé d’avoir une vraie salope comme elle mais que maintenant il allait falloir m’obéir pour cela reste entre nous et que notre famille et entourage n’en sachent rien. Je pense que le message a été bien compris, d’ailleurs notre plagiste est venu seul les deux derniers soirs avant notre départ et s’est copieusement servi de son corps qu’elle lui livrait avec docilité... J’en ai profité pour prendre quelques photos et vidéos de ma femme hurlant de jouissance, embrochée par le sexe volumineux du plagiste et lui ai montré afin de bien assurer mon emprise. Je constate qu’elle a maintenant compris qu’elle était coincée et bien obligée d’en passer par où je voulais, et je ne suis pas sûr que ce soit pour lui déplaire, elle a bien une mentalité de salope ! Le retour s’est fait et nous avons repris notre vie bourgeoise ; sauf que maintenant il m’arrivait de me déchaîner sur elle sans qu’elle ne résiste et je pouvais donner libre cours à tous mes mauvais instincts : elle se laissait attacher, baiser dans toutes les positions et par tous ses orifices, et parfois quand je voulais vraiment l’humilier, fister car tout ça lui avait bien élargi la chatte, mon rêve étant de la fister aussi du cul, mais là il me faudra encore de l’aide car je ne voulais en aucun cas la blesser. Mais cette routine, ...
    ... même débridée commençait à me lasser et j’avais d’autres envies, m’étant aperçu que mon plus grand plaisir était quand même de la voir soumise et humiliée par d’autres. J’ai donc repris mes recherches car j’avais un fantasme que j’avais considéré comme fou mais qui maintenant me paraissait réalisable, la voir se faire saillir par un chien, j’avais d’ailleurs trouvé quelques films sur le sujet et elle semblait assez troublée par ces scènes, au point d’être encore plus docile quand je la baisais ensuite. J’ai trouvé un interlocuteur qui me semblait valable et sûr, pas très loin, au Vésinet, un homme d’une cinquantaine d’années qui m’assurait vivre seul dans un pavillon tranquille, sa femme l’ayant quitté et qui possédait un animal bien dressé à ce genre d’exercice. Sa seule exigence pour l’initier étant que lui-même puisse disposer d’elle comme il le désirait et comme il était physiquement acceptable, grand, costaud, barbu et bien monté, je n’y voyais aucun inconvénient, ayant vu des photos de lui, de son chien, un gros dogue argentin a l’air pataud et des saillies qu’il avait fait faire à sa femme, je me suis dit que l’expérience devait être tentée. Rendez-vous fut pris pour un vendredi soir. J’ai expliqué à ma femme que nous allions voir un ami à moi, sans lui parler de rien, je pense qu’elle s’est doutée que le sexe serait présent mais sans se douter du reste. J’ai vu à sa tenue qu’elle avait envie de faire monter du désir, tailleur noir assez strict mais à la jupe mi-longue ...
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