1. Enfin elle a cédé (4)


    Datte: 21/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... fendue très haut sur la cuisse et laissant donc apercevoir la limite des bas noirs à résilles et du serpent rouge du porte-jarretelles assorti à un balconnet qui mettait très en valeur sa généreuse poitrine directement sous la veste du tailleur assez déboutonnée pour qu’on voie bien la couleur rouge tranchant sur le noir strict. Une belle bourgeoise laissant deviner la salope qui sommeille... Nous arrivons, effectivement, petit pavillon assez isolé, calme et discret, le portail est ouvert et je rentre ma voiture comme convenu. Robert arrive, et galamment ouvre la portière de Martine, ce qui lui permet une vue plongeante sur sa cuisse dégagée pratiquement jusqu’à sa culotte par la fente de la jupe. Il semble ne pas déplaire à ma femme ce qui est de bon augure. Nous entrons dans un salon très cosy, large canapé anglais où nous nous installons devant un feu de cheminée qui surchauffe la pièce. Il est profond et la jupe de ma femme s’ouvre largement offrant à notre hôte une vue imprenable qu’il semble apprécier, Martine ne faisant rien pour arranger les choses, sans doute ayant déjà compris qu’on était là pour qu’il se serve d’elle, si elle savait. Intelligemment Robert n’a pas parlé du chien qui doit être dans une autre pièce et reste silencieux. Robert nous sert un verre, très alcoolisé et sort des petits gâteaux, au bout de deux ou trois verres, l’ambiance s’est réchauffée et Martine est souriante et détendue, ce qui présage une suite intéressante... Après ces quelques ...
    ... verres, Robert nous propose un café et, comme nous acceptons, il propose à Martine qu’elle l’accompagne à la cuisine pour l’aider. Elle se lève et je remarque qu’en passant la porte il me fait un petit signe et pose sa main sur la hanche de ma femme, mais très bas, presque sur la fesse, elle ne sursaute même pas... Au bout d’un moment, je me lève et me dirige sans bruit vers la cuisine, je risque un œil par la porte entrebâillée et je vois avec satisfaction que Robert a coincé ma femme contre le mur, qu’il l’embrasse à pleine bouche tout en l’ayant troussée haut et que ses mains sont dans sa culotte, elle se débat mollement, déjà consentante... La scène m’excite au plus haut point : la voir déjà docile et entre les mains de ce sympathique inconnu. Je regagne doucement ma place, émoustillé. Je les vois revenir, Martine un peu rouge et sa veste de tailleur largement ouverte... Elle reprend sa place, sa jupe s’ouvrant encore largement mais elle n’y fait même pas attention. Robert nous sert nos cafés et la conversation glisse, l’ambiance s’étant alourdie, sur le sexe, la plastique des femmes et les relations hors normes... Robert vient s’installer à côté de Martine et se serre délibérément contre elle tout en me faisant signe de la tenir ; je lui prends doucement les poignets et lui tiens dans le dos, elle ne résiste même pas, déjà docile. Robert se libère et sort un sexe de bonne taille déjà tendu, j’ai à peine à pousser sur la nuque de ma femme pour qu’elle se penche et commence à le ...