1. Aurélie 2


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le lendemain soir, j’attendais avec impatience et appréhension l’arrivée de mon maître et de celle qui allait devenir ma maîtresse. Vers dix-neuf heures, je me mis en position dans le couloir et attendis leur arrivée. Je faillis jouir lorsque j’entendis la clef dans la serrure. Puis ils furent là. Je ne vis que deux pieds chaussés d’escarpins de bonne facture. Je tressaillis et faillit jurer lorsque j’entendis la vois de ma maîtresse.- Bonsoir, boniche.Véronique, ma gentille assistante. Véronique allait devenir ma maîtresse. J’en restai sans voix. Elle reprit impérieusement :- Je t’ai dit bonsoir, il me semble.- Bon… bonsoir, maîtresse.- Lève-toi et aide-moi à me débarrasser.Je n’avais d’autre choix que d’obéir. Je sentais leurs regards sur moi, un goguenard et triomphant, l’autre inquiet et inquisiteur. Je la débarrassai de son manteau et elle apparut en tailleur très chic. Jamais encore je ne l’avais vue si bien habillée. Je pensais que c’était grâce à l’argent de mon maître.- Porte ma valise dans la chambre et reviens nous servir à boire, souillon.- Bien maîtresse.Je pris la valise, vaincue par le sort, et je la déposai dans la chambre. Je revins ensuite servir des rafraîchissements à mes maîtres. Lorsque je les eus servis, je me mis à genoux près d’eux. Je sentais le regard de Véronique sur moi. C’était un regard de triomphe. Après un instant de silence, elle demanda à Frank :- Chéri, tu ne le lui as rien dit ?- Non, je te laisse ce plaisir.- Tu n’as pas compris, souillon ...
    ... ? me demandât’ elle joyeusement.- Compris quoi, maîtresse ? répondis-je interloquée.- C’est bien ce que je pensais, tu n’as rien compris, tu n’as rien vu venir. Je t’ai pris ton travail. Je t’ai pris ton mec et tu ne t’es rendu compte de rien !- Pris … pris mon travail ?- Bien sûr. Pourquoi crois-tu qu’il manquait un document dans ton dossier ? pourquoi crois-tu que tu n’as pas retrouvé de travail ? parce que je suis intervenu. C’est moi qui ai égaré le document. C’est moi qui ai pris contact avec celle qui gérait ton dossier ANPE afin que tu ne trouves pas de travail.- Pour… pourquoi ?- Pourquoi ? tu nous a toujours snobé, nous tes subordonnés. Tout juste un bonjour, et encore, du bout des lèvres. Pas un mot de remerciement, jamais. Pour toi, nous n’existions que pour te permettre de te faire mousser auprès des patrons. Et ton mec ? C’est moi qui l’ai dragué, ton mec. Je l’ai rencontré aux cocktails de la boîte. Ça n’a pas été trop difficile d’ailleurs, le pauvre était en manque de tendresse. Et puis, j’avais tous les atouts de mon côté. Regarde-toi. Un beau cul, mais pas de nichons. Froide comme la pierre. Alors je n’ai eu aucun mal à le conquérir. Lorsque je l’ai eu dans mon lit, j’ai pensé à toute cette mise en scène pour te convertir à la soumission. Pas trop mal réussi. D’ailleurs, je trouve que ton maître est trop cool avec toi. Avec moi, cela va changer. Je vais te dresser. Tu ne seras plus qu’une esclave, une salope. Ton maître partira lundi, pour un mois, peut-être ...
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