1. Aurélie 2


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... les caresses insistantes sur mes fesses ou mes seins et je dus me prêter à ce jeu sans me plaindre. D’ailleurs, je n’en avais pas envie. Je me complaisais dans ce rôle d’objet, d’esclave et de bonne.Lorsqu’ils sortirent de table, je débarrassai le couvert et fit la vaisselle. Lorsque je regagnai ma chambre, la lumière était déjà éteinte dans la leur. Je m’étendis sur le lit et sans même me déshabiller, j’ouvris les jambes, écartai ma culotte et commençai à me caresser. Il ne me fallut pas longtemps pour parvenir à l’orgasme. Assouvie, je me levai, me déshabillai, lavai ma culotte poisseuse et pris une douche. Il était vingt-trois heures trente lorsque je me couchai. Je m’endormis aussitôt.Le réveil me tira d’un sommeil lourd. Je regardai l’heure, six heures trente. Je me levai difficilement, m’habillai et allai dans la cuisine préparer le petit déjeuner de mes maîtres. Lorsque je frappai à le porte, portant le plateau, elle me répondit d’entrer, et de poser le plateau sur le lit. En me fixant, elle me dit :- Là où nous allons, tu n’auras pas besoin de vêtements. Alors, tu quittes tout. Tu ne mettras que ta cape sur le dos.- Bien maîtresse.- Laisse-nous maintenant.Je sortis et refermai la porte. Je me rendis dans ma chambre, quittai mes vêtements, pris ma cape et mes chaussures, me rendis dans le couloir et attendis ma maîtresse dans la position d’attente. Lorsqu’elle arriva, elle tenait à la main une fine cordelette. Elle me fit me lever et me lia les mains dans le dos. Je ...
    ... la suivis, à deux pas derrière elle, comme avec mon maître. Comme ma cape ne se fermait qu’avec un bouton en haut, à chaque pas, elle s’ouvrait, dévoilant ma nudité. Ce fut encore pire dans la voiture. Tout le bas de mon ventre était découvert par la position assise et ma maîtresse m’ordonna d’écarter les cuisses. Le voyage se passa ainsi, Véronique roulant presque au pas. Tous ceux qui plongeaient du regard dans la voiture ne pouvaient manquer de voir ma nudité révélée. Elle se gara à 100 mètres de l’institut et me fit la suivre. Le spectacle qu’offrait ma cape à chaque pas captiva beaucoup de passants.Nous entrâmes dans le salon de beauté par l’arrière et Véronique embrassa la propriétaire qui l’attendait.- Voilà, je t’amène ma boniche. Je veux une épilation intégrale. Plus aucun poil.- Aucun problème. Montre-toi.Ma maîtresse fit glisser la cape et me détacha les mains. Je me retrouvai nue devant l’esthéticienne. Celle-ci hocha la tête en regardant ma toison, examina mes aisselles et mes jambes puis dit à ma maîtresse :- Tu me la laisses deux heures, cela ira.- Bien sûr, chérie. A tout à l’heure.Je restai seule, nue avec la femme. Celle-ci me fit signe de la suivre et m’installa sur une table. L’épilation commença par les aisselles, continua par les jambes et se termina par le pubis et la raie des fesses. Lorsqu’elle eut terminé, ma peau était aussi lisse qu’à ma naissance. Ma maîtresse, revenue depuis 10 minutes, inspecta le travail et paya. Elle me rattacha les mains dans ...
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