1. Un amour impossible. Clara, l'alternative...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: fh, fbi, amour, volupté, pénétratio, ecriv_c,

    ... quelques ardeurs… Elle exigea que je la détaille dans ses moindres replis de la langue et des mains. De son côté, sa bouche arrondie me prodigua des caresses sublimes et y récolta le fruit de mon arbre de vie… sans rien laisser. Apaisés et meurtris, le calme revenu, nous reprenons notre souffle. Elle est sur moi, m’écrasant de sa poitrine, de son ventre, ses cheveux défaits me caressant le visage. Mes mains jouent avec les rondeurs de ses fesses cambrées, ses délicates vallées. Tendresse… — Quand même, lui dis-je, tu es une sacrée amoureuse… quand je pense que tu es « bi » ! J’ai du mal à imaginer… Elle rit, ce qui provoque comme un massage résonnant dans nos deux corps soudés. — T’es bien curieux ! Entre filles c’est plus doux, on sait mieux ce qui donne un maximum de plaisir…, et se redressant sur un coude, pourquoi ? tu voudrais essayer, à trois ? Tu verras… on fait des trucs !— Euh ! je sais pas… jamais fait !— Tu parles ! Hypocrite ! Tous les hommes ne rêvent que de ça… Ah ! et tiens, avec Ingrid, ça te dirait ? Elle, toi et moi ? Elle rit de plus belle en se laissant retomber et, sa bouche dans mon oreille, elle murmure : — Et je te promets une partie de cochonneries telle que tu auras du mal à t’en remettre ! Ingrid ! Pourquoi en reparler ? La page est tournée. J’ai trop mal… — Clara… à trois, pourquoi pas ? Avec toi ça me tente… Mais Ingrid, on oublie, tu veux bien ? À nouveau elle se redresse et s’esclaffe : — Ho ! là… c’est pas vrai ! T’es encore amoureux ?! Une ...
    ... boule à l’estomac me saisit. — Je sais pas, je sais plus… Et toi tu viens… au milieu de tout ça ! Du coup, elle se dégage et s’assoit en tailleur, torse droit, entre mes jambes, face à moi, ses seins pointant, orgueilleux et provocants, dans la pénombre. — T’as un cœur d’artichaut ! Tu ne vas pas me dire que tu es « aussi » amoureux de moi ? Cette fois, j’ai l’estomac en croix… Je me redresse aussi… Je dois perdre la tête, toutes ces femmes, que de problèmes ! Amoureux ? Oui, sûrement. Mais au fond, de qui ? Je ne suis pas de taille avec ces femelles hors normes, qui ont l’air dépourvues de nerfs et de sentiments… ces mangeuses d’hommes, ces amazones… Je préfère biaiser la réponse : — Et toi, tu ne tombes jamais amoureuse, jamais de « vrais » sentiments ? Elle secoue la tête, sourit à demi. — Non… ou alors pas longtemps. Tu comprends ce boulot… l’un chasse l’autre. Elle rit en me chevauchant sur les cuisses, tout près, ses seins caressant ma poitrine dans un mouvement de ses épaules. Coquine, elle poursuit : — Non ! Je serais plutôt amoureuse « sexuellement »… comme avec toi. Mais toi, tu n’as pas répondu, tu es amoureux de moi… « en sentiments », déjà ? Je la serre contre moi et je sens ses doigts me caresser les cheveux, son souffle dans mon cou, son ventre forcer le mien. Je ne réponds pas. Quoi dire ? Je ne maîtrise plus rien dans cette tourmente… Finalement, nous nous endormons dans un fouillis de draps tachés et de membres épars. Le lendemain, lever très tôt. Je dois ...