1. Alice


    Datte: 22/06/2018, Catégories: h, fh, frousses, extracon, voisins, vidéox, Masturbation Oral

    Lendemain de réveillon du Nouvel An. Je tourne la clé dans la serrure de mon appartement. Le corps las des excès de la semaine précédente, je m’écroule dans le canapé. Ce soir, je suis seul. Mon épouse et ma progéniture sont restées en Bourgogne. Même si ma vie de famille est merveilleuse sous bien des aspects, il serait malhonnête de dire que c’est tous les jours une sinécure. Trois enfants en bas âge nécessitent une attention de tous les instants et il est parfois salvateur de se retrouver en amoureux ou seul. Dans le train du retour, j’ai pris une décision : après des années à lire des histoires sur Rêvebébé, j’ai décidé de passer à l’acte et d’ajouter ma modeste pierre à l’édifice d’érotisme qu’est ce site. À ce stade du récit, j’ai envie de porter un toast – c’est de saison – à tous ces auteurs qui m’enchantent depuis tant d’années. Ma première fois sur Rêvebébé, c’était il y a une vingtaine d’années. Je ne me souviens pas du récit initiatique, mais je me remémore bien mes premiers émois. À l’époque je me connectais clandestinement à Internet, la crainte d’être surpris par mes parents venant s’ajouter à la fougue de mes masturbations adolescentes. Mais revenons à nos moutons. Aujourd’hui, j’ai décidé d’être l’auteur. Dans le train, j’ai posé les bases de mon récit : il sera légèrement autobiographique (il paraît que c’est la norme chez les jeunes auteurs), il y sera également question de plaisirs collectifs et de partage : du partage d’une femme mariée par deux ...
    ... hommes. Ces dernières années, j’ai vu le thème du candaulisme émerger et devenir un fantasme courant. J’ai lu beaucoup de récits qui m’ont laissé sur ma faim et je me suis fixé l’ambition immodeste de renouveler le thème. C’est donc drapé de l’arrogance de celui qui n’a jamais écrit une ligne, mais pense pouvoir le faire aisément, que je m’installe devant mon ordinateur. Les premières lignes viennent relativement facilement, mais les suivantes sont poussives. Cherchant le second souffle, je décide de m’ouvrir une bouteille de pinard. Tentative infructueuse puisque je ne parviens pas à mettre la main sur ce fichu tire-bouchon. Un coup des enfants ? Un coup du sort ? Que nenni, rien ne viendra freiner mon enthousiasme : je décide d’aller en chercher un chez les voisins. C’est ainsi que je me retrouve à sonner chez les voisins du quatrième, Ludovic et Alice, rencontrés lors de l’apéro que nous avons organisé à notre arrivée dans l’immeuble. C’est un couple de jeunes trentenaires, de type bobos parisiens, bons vivants et bien dans leurs pompes. Lui est sympa, mais assez effacé. Elle est rousse, un peu ronde, avec un visage juvénile et des yeux pétillants. C’est Alice qui m’ouvre. Elle sort visiblement de sa douche. Elle est vêtue d’une nuisette en satin bleu nuit très courte. Visiblement ce n’est pas à moi qu’elle s’attendait à ouvrir. Son visage rosit insensiblement. Je balbutie : — Euh, salut, Alice, tu aurais un tire-bouchon pour me dépanner ?— Oui, oui, bien sûr, bouge pas. Elle ...
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