Alice
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
h,
fh,
frousses,
extracon,
voisins,
vidéox,
Masturbation
Oral
... difficile, mais je n’ai pas envie de m’épancher là-dessus. Effet collatéral de cette incartade, c’est à cette période que j’ai commencé à vouloir coucher avec d’autres femmes. Pas seulement dans ma tête, mais aussi dans mes couilles. J’avais envie de passer à l’acte, de ressentir le même frisson que mon épouse. Ce qui est étrange c’est que paradoxalement, notre vie amoureuse était sortie renforcée de cette épreuve. Cela me perturbait et, d’ailleurs, me perturbe toujours. Toujours est-il que j’étais plus joueur, plus tactile, plus sensible aux signaux sexuels féminins qui ne manquent pas quand on y prête attention. À vrai dire, je cherchais l’occasion. La bombe à retardement était lancée. Il suffisait d’une étincelle. C’est aussi à cette période que j’ai découvert le candaulisme. Non pas dans ma chair, mais comme concept, phénomène de société et source d’inspiration des lecteurs de Rêvebébé. Tout d’un coup, j’avais la sensation que tout le monde prêtait sa femme ou fantasmait à l’idée de le faire. Était-ce un effet collatéral de l’incartade de ma femme ? Était-ce un désir enfoui ? Ce fantasme me dégoûtait autant qu’il m’attirait. Être cocu dans la vraie vie me faisait souffrir, il était hors de question que ça me fasse bander sur internet. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et mon rapport au candaulisme s’est apaisé. Il a mûri, dirais-je. J’ai notamment réalisé que mon fantasme n’était pas celui du « cocu content », mais plutôt celui qu’on appelle, parmi les pratiquants, ...
... lebull. Autrement dit celui qui baise la femme mariée sous les yeux ou avec la bénédiction de son mari. Même situation, désir opposé. C’est sur ces considérations que je m’endors ce soir-là. La journée du lendemain passe péniblement. Je lance mon logiciel de traitement de texte, mais les mots ne viennent pas. J’ai l’esprit ailleurs. Je me surprends à repenser à Alice au milieu d’interminables réunions. Plusieurs fois je suis tenté de m’isoler dans les toilettes pour me soulager. Le soir venu, je rentre à maison. Alors que la porte de l’ascenseur se referme, une main la retient. C’est Alice. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Elle semble surprise de me voir, mais aussi heureuse. L’ascenseur entame son ascension et je fais une chose que je ne pensais jamais oser faire. Dans un souffle, je lui dis : — Tu m’as fait bander hier. Je retrouve dans son regard le trouble que j’avais perçu. Ses lèvres sont entrouvertes. Mon cœur bat à tout rompre. J’attrape ses mains. Nous sommes comme deux ados empotés. Je l’embrasse. L’ascenseur est arrivé à mon étage depuis belle lurette. Le premier baiser s’est mué en un roulage de pelle sauvage et baveux. Nos mains se baladent sur nos corps. Les miennes glissent maladroitement sous son haut, empoignant vigoureusement ses seins. Cette fille brusque ma libido. Je lui dis : — Viens chez moi. Elle me suit sans hésiter. C’est surréaliste. Je referme la porte derrière elle. Elle laisse tomber son sac sur le plancher. Le nez dans son cou, je lui dis ...