Un beau dimanche.....
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
douche,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
Résumé de l’épisode précédent : «Un après-midi avec Max » Samedi soir, Max vient de partir et me voilà seule à la maison. Quel après-midi de dingue je viens de passer et je suis épuisée, je ne vais pas faire long feu. Avec Max, nous avons fait l’amour tout l’après-midi. Pour une première fois et par rapport à ce que mes copines m’avaient raconté, j’estime avoir eu une super-méga chance d’avoir fait ça avec Max. ________________________________________ Je reçois un texto de Max : Je suis raide dingue de lui… Pourquoi les meilleurs sont-ils déjà casés ? La réponse est aussi idiote que la question. 21 heures, je suis claquée, je me couche et m’endors aussi sec. Je fais le tour du cadran, et lorsque je me réveille, je pense encore à mon Max. Je suis en pleine forme, pleine de vie, et j’ai une faim de loup. Je descends comme je me suis levée toute joyeuse, je ne passe même pas par la salle de bain pour me regarder dans le miroir comme je fais tous les matins et c’est en tee-shirt culotte que je vais déjeuner, je m’en fous, je suis toute seule. Comme un rituel, je sors mon fromage blanc, mon kiwi et je prépare mon thé. Je fais très attention à ma ligne au grand dam de mes parents qui passent leur temps à me réprimander sur mes menus. Et pourtant ce matin, je regarde mon petit déjeuner avec presque du dégoût, j’ai faim. En remuant mon thé, je relis le texto de Max de la veille où il m’appelle « mon ange », je l’adore. Au moment où je pose mon téléphone, je reçois un appel, ...
... c‘est Max ! — Tu es réveillée, ma belle, bien dormi ?— Oui et trop bien en plus.— Tu es plutôt croissant ou pain au chocolat ?— Euh… pain au chocolat— Tu m’ouvres ? Mon sang ne fait qu’un tour, il est là, je suis en vieille culotte et tee-shirt de nuit, je suis pas coiffée. Tant pis, je suis trop heureuse qu’il soit là, j’actionne l’ouverture du portail et je l’attends en cherchant un reflet dans la vitrine d’entrée juste pour me recoiffer un minimum. Il toque, j’ouvre la porte et lui saute dans les bras. — Oh, Max, je suis trop heureuse de te voir, je m’y attendais pas— Je t’ai manqué— Tu peux pas savoir.— J’ai dit que j’allais faire un footing, donc j’ai pensé déjeuner avec toi et après je me sauve.— Et tu crois que ta femme va te croire si tu rentres comme tu es sorti tout propre et tout sec.— Je me débrouillerai, j’avais trop envie de te voir.— OK, on va déjeuner et après on va faire un peu de sport, histoire de transpirer. Il rit aux éclats. J’adore le faire rire, il me fait sentir que j’existe contrairement à tous mes ex qui passaient leur temps à me faire remarquer que soi-disant j’étais niaise. D’un coup je m’active, je lui prépare un café et on engloutit les viennoiseries, car notre temps est compté. Son téléphone sonne et il s’éloigne pour répondre. Le ton de sa voix est grave et j’ai peur qu’il m’annonce qu’il doit partir. — Ça va, Max ?— Euh ouais, c’était ma femme, tes parents rentrent à quelle heure ?— En fin d’aprèm’, ils sont sur Nice.— Tu me gardes avec toi ...