Un beau dimanche..... - Histoires de Sexe

Un beau dimanche.....

... aujourd’hui ?— T’es pas sérieux !— Ma femme rejoint ses parents dans les Alpes pour la journée.— Maaax, je suis ravie. Il dépose un baiser sur mon front et se rassois. Je suis en train de ranger la vaisselle que nous avons utilisée en lui tournant le dos lorsque je le sens derrière moi, il me caresse les fesses. — J’aime tes fesses, ma Caro, elles sont si parfaites.— Mmmm, j’aime tes mains sur mon corps, Max.— Oh Caro. Il colle son bassin sur mon arrière-train et je sens qu’il est déjà bien en forme, il m’embrasse dans le cou, ses mains agrippent mes seins maintenant, et je sens ma culotte s’humidifier. — Tu me fais bander, Caro, j’ai envie de toi.— Max, il faut que je fasse un tour par la douche d’abord.— Je vais te donner une bonne raison d’aller à la douche. Il me plaque sur la table de la cuisine, me bloquant de son bras sur mon dos et de sa main dispo, il fouille ma culotte. Je me sens prisonnière de cette étreinte et je mouille comme une folle. — Tu es trempée, ma puce.— C’est de ta faute, tu me fais trop d’effet. Toujours sous son emprise, je sens son sexe se présenter à l’entrée de ma petite grotte inondée. Il s’enfonce en moi me maintenant la nuque avec sa main gauche et sa main droite agace mon clitoris. — Oui, Max, mmmm vas-y, vas-y, Max.— Rrrrrr, t’aimes ça, ma Caro, hein ? Je le sens animal, le rythme s’accélère et les coups de reins se font de plus en plus fort, ses mains ont maintenant saisi mes hanches. — Oh putain Caro, tu as un cul, oh putain ce cul. Il me ...

... donne de petites claques sur le cul, je me régale. — Oh Max, je suis ta chose, prends-moi Max… baise-moi. À ces mots, je le sens devenir fou et la cadence est endiablée même un lapin ne pourrait pas faire mieux. Je ne perds pas connaissance, mais il y a un trou dans le temps que je ne pourrais expliquer, je hurle comme une folle et j’explose lorsque je le sens se décharger en moi. Il s’affale sur mon dos restant en moi. — Oh putain, qu’est-ce que t’es excitante quand tu parles comme ça.— Ça te plaît ?— Une vraie petite cochonne et dire qu’hier, tu étais vierge.— Mmmm… je me sens libérée avec toi, du coup je me lâche.— Ma petite cochonne.— (rire) TA cochonne.— J’espère bien. On reste un petit moment comme ça le temps qu’il reprenne son souffle et je me décide à briser le silence : — Qu’est-ce que tu préfères chez moi ?— Oula, y’a tellement de choses à dire, t’as un cul d’enfer, un corps de rêve, la gravité n’a aucun effet sur ces deux petits miracles que sont tes seins et surtout, tu es belle, oh oui, tu es tellement belle, ma Caro.— Je sais que c’est du déjà vu, mais ça te dit d’aller au bain ? On se relève et on s’embrasse, il me sourit tendrement et me prend la main direction la salle de bain. Une fois dans la baignoire, on est comme hier, lui derrière et moi devant, j’aime être avec lui et cela me pousse à lui dire : — Max, si tu étais célibataire, quelles seraient mes chances d’être ta petite copine ?— Franchement très minces.— Quoi ?— Soyons honnête ma puce on a quinze ...