Souvenir sexy à Carcassonne
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
f,
couple,
vacances,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
nostalgie,
C’était il y a longtemps – peu ou prou lorsque j’avais ton âge – et j’avais pris une chambre en auberge de jeunesse avec ma petite amie (mon premier amour avec qui je connus quelques années de bonheur) car on était en voyage vers chez elle, à Montpellier (on avait tout fait en stop, le délire !). Je passe vite sur le mauvais souvenir, nous sommes arrivés si tard que ma chérie avait refusé qu’on visite la cité fortifiée, histoire – elle n’avait pas tort – de vite récupérer notre chambre avant que la réservation ne soit prise par d’autres… C’est donc passablement déçu et fourbu que je suis arrivé avec elle à l’auberge de jeunesse de Carcassonne : c’était complet, et à l’idée d’obliger ma compagne à dormir dehors sur un banc, mon sang ne fit qu’un tour et je me suis énervé comme jamais contre l’organisation qui tenta de se justifier en disant qu’ils n’avaient pas reçu ma réservation… Finalement, ils décidèrent de nous faire dormir dans la salle de réunion qui servait de buanderie… Là on pouvait se fabriquer un lit avec des monticules de couvertures pliées apposées les unes à côté des autres… Dans la pièce – immense et qui avait le mérite de n’être pour cette nuit-là qu’à nous, un atout fort appréciable pour un jeune couple – il n’y avait qu’une fenêtre assez haute, et qui donnait sur la grande place en dessous, je m’en souviens comme si c’était hier… C’est précisément à cet endroit que, nue comme Ève et toute prise d’une envie aussi subite qu’inattendue, ma belle, pourtant ...
... pas du genre exhib en règle générale – avec de merveilleuses exceptions qui me feraient autant de belles histoires à raconter –, me ravit de la danse la plus sexy que je n’ai jamais eue ! Une danse qui commença dans un rythme d’une lenteur hallucinante, décuplant d’autant toute la sensualité de ses gestes. Elle monta sur le perron de la fenêtre ouverte – c’était en plein été et on n’avait pas froid ! – toute nue, légèrement accroupie avec les jambes un petit peu écartées, le dos et les fesses qui auraient été plaquées à la vitre de la fenêtre si celle-ci n’avait donc été ouverte, donc offerte à la fois au vent qui lui caressait la peau, à la fois aux nombreux regards des touristes et résidents noctambules qui passaient en bas ou s’attroupaient sur le perron d’entrée de l’auberge… sous réserve qu’ils regardent un instant en l’air ce qui à mon avis a certainement été le cas. Dans cette posture, sa longue et précieuse chevelure cascadait des rivières d’or dans son dos jusqu’à la naissance des cuisses, et elle me regardait droit dans mes yeux hagards, comme pour m’hypnotiser… Je fis un pas et je voulus la prendre dans mes bras, le sien se tendit vers moi dans un geste d’interdiction : sans qu’elle prononce un seul mot, je l’entendis ainsi me dire : « regarde, profite, mais ne me touche pas ». Alors, elle étendit ses bras en croix pour saisir le rebord supérieur de la fenêtre tout en écartant davantage ses cuisses pour maintenir une (très) belle et (mmm) indécente symétrie et elle ...