Souvenir sexy à Carcassonne
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
f,
couple,
vacances,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
nostalgie,
... devait pas louper d’un seul coup d’œil sur la bosse qui me déformait alors, mais c’est tout de même toute sérieuse qu’elle reprit son ballet des bras et des mains… Retour au front, cette fois-ci avec de bien plus longues et sensuelles caresses – délicieuses, je m’en rappelle – sur son visage, où elle alla même, en sortant la langue, humecter ses doigts d’un peu de salive qui tracèrent ensuite sur ses joues et son menton quelques lignes humides… Cette fois-ci, elle empoigna ensuite, plus bas dans le parcours, les mamelons pour les presser et caresser véritablement, et j’eus même le droit peu après et durant quelques secondes à un début de véritable masturbation, qu’elle appuyait de quelques soupirs et jolis couinements de plaisir… Là, c’était trop impossible pour moi de ne rien faire, je me suis approché d’elle, j’étais à quelques centimètres à peine, je crois même que je couinais de désir et de sensation – elle adorait ça –, et même si je réussis à m’empêcher de la toucher, je pouvais alors respirer son odeur et celle de ses plaisirs… C’est là qu’elle descendit de son érotisant perchoir. ...
... Ce fut alors la fin du spectacle pour les badauds certainement en masse attroupés – on entendait quelques sifflements caractéristiques dans notre direction – mais le mien ne faisait que commencer… Se faisant chatte, elle coula devant moi en ondulant, pour s’allonger juste devant sur le parquet, elle me fit non de la tête pour que je comprenne que le jeu n’était pas fini, que je n’avais toujours pas le droit de la toucher, et cette fois-ci se masturba franchement et longuement, de ses mains, d’un doigt, de tous ses doigts des deux mains qu’elle enfonça tour à tour un par un ou davantage, avec des rythmes tantôt lents tantôt rapides… jusqu’à presque crier de joie et sembler avoir oublié jusqu’à ma présence, tout en chemin vers son ou ses orgasmes successifs. Elle continua ainsi jusqu’à trembler de la tête aux pieds, en pressant ses mains entre ses jambes, elles-mêmes pressées contre son ventre. Elle pleurait de joie et de sensations, et comme elle m’apparut avoir froid, de trembler ainsi, je la pris dans mes bras et la portai sur notre lit où, à peine déposée, elle m’embrassa d’un long baiser…