1. Fantasme


    Datte: 23/06/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, caférestau, chantage, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation fsodo, jeu,

    ... point qu’à son énième whisky, j’avais senti ses doigts effleurer l’arrière de mon genou. J’avais un peu sursauté et Bertrand m’avait regardé d’un air entendu, genre « continue comme ça ». J’aurais espéré de sa part une réaction plus virile, mais tant pis, j’en avais pris mon parti, ce soir je faisais l’allumeuse et à sa demande … alors, autant jouer le jeu. Le passage suivant, les doigts recommencèrent à m’effleurer, mais cette fois-ci je ne sursautai pas et pris mon temps pour vider le cendrier. Ce n’était pas désagréable du tout en fait, au contraire, et le regard de mon chéri rajoutait à l’excitation de la situation. Aussi quand le SMS arriva je n’étais ni surprise ni choquée : — Ma chérie, ça ne va pas du tout, il me plume, tu ne le déconcentres pas du tout en fait, il faut que tu nous sauves la mise… fais quelque chose. La belle affaire, faire quoi, j’allais pas lui rouler une pelle ou lui faire un strip-tease dans le salon. Ma jupe arrivait déjà à mi-cuisses, même debout on voyait presque la dentelle des bas et si j’ouvrais plus mon chemisier autant l’enlever et me balader en soutif… Il exagérait… en même temps, tout ça me rappelait des souvenirs très excitants et je ne pouvais nier que mon trouble était bel et bien présent au creux de mon ventre. Jouer l’hôtesse un peu aguicheuse m’amusait assez et surtout en présence de ce personnage mi-fascinant, mi-inquiétant. OK, alors comment faire plus sans se balader à poil ? Ou en soutif… ou sans soutif ! Pas chiche. Dans la ...
    ... cuisine, j’enlevai rapidement le sous-vêtement en question. Problème, pas de glace pour voir le résultat… Par endroit mon chemiser était transparent, par endroit il ne l’était pas. Il était plus souvent opaque que transparent, mais quand même c’était sûr que cela allait se remarquer. En même temps, c’était le but ! Prenant mon courage à deux mains, je sortis de la cuisine et retournai au salon. La réaction ne se fît pas attendre. En soi, la tenue n’était pas obscène, car en plus j’avais refermé un bouton, mais j’avais oublié les lumières. En effet, le salon était éclairé par de multiples petites sources lumineuses telles des abat-jour ou des petites lampes de chevet sur des tables basses et, quand je passais devant un de ces points lumineux, mon chemisier devenait vraiment transparent et offrait une magnifique vue de ma poitrine. Pire encore, quand je compris cela, que je m’offrais presque plus que nue aux regards de mon mari et de cet inconnu troublant, cela m’excita et mes tétons durcirent de manière assez apparente. Légèrement au début, puis le frottement du tissu de mon haut s’ajouta au processus. Pour finir de mettre mes sens en émoi, mon homme se leva pour prendre des cigarettes et me servir une autre coupe de champagne. Il me glissa à l’oreille : — Je t’aurais pas cru aussi salope… tu ferais bander un mort comme ça… c’est parfait… En temps normal, j’aurais eu en horreur qu’il me traitât de salope, mais au moment où il me disait ces mots mon regard croisa celui de notre ...
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