1. Fantasme


    Datte: 23/06/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, caférestau, chantage, noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation fsodo, jeu,

    ... l’impression que je vais encore gagner.— Ce n’est pas possible. Laissez-nous encore une chance, je vous en prie. Le ton de mon mec était mielleux et suppliant presque surjoué. Entre les deux hommes, je commençais à préférer vraiment l’invité. — OK l’ami, c’est ton jour de chance, pour un baiser avec ta femme, je te laisse changer une carte de ton jeu. Voilà, on y était, il allait vendre mes charmes pour de l’argent, ou plutôt une chance de ne pas tout perdre. J’étais tellement peu surprise et excitée que je ne dis rien. Pas plus que lui. Le silence ayant scellé le deal, Damien s’installa sur le canapé et tapant sur ses cuisses appela son trophée avec autorité. Au dernier moment, Bertrand sembla vouloir dire quelque chose, mais se retint. Quand je m’assis sur les genoux de cet homme, mon cœur battait la chamade. Ma tenue, l’heure, l’alcool, tous les efforts que j’avais déployés pour le séduire, la peur, se mélangeaient dans un désir sourd d’arriver à une conclusion avec ce type. Mais ce salaud prenait son temps et savourait son moment. — Avant de prendre mon baiser, je vais recevoir celui que tu veux me donner depuis un bon moment. Quelle prétention, quel connard, quelle belle bouche… Bien sûr que j’avais envie de l’embrasser. Lui attendait, faisant aller le bout de ses doigts sur mes cuisses, dans mon dos, sur mes bras. Puis il s’aventura sur mes seins. Là, je fus soudain consciente du regard de mon compagnon sur la scène. Il nous regardait avec des yeux fous de désir et ...
    ... non de colère. Paradoxalement, au lieu de me gêner, ce regard m’excita encore davantage. Damien caressait maintenant doucement ma poitrine qui est déjà sensible naturellement, mais en l’état était électrique. Je sentis que mes tétons irradiaient directement leurs plaisirs vers mon bas-ventre. Mon sexe était de plus en plus humide, j’avais peur d’inonder ses cuisses. Comme s’il lisait dans ses pensées il me dit à l’oreille, mais de telle manière que Bertrand entende : — Tu mouilles comme une catin, avoue. Avoue que tu aimerais bien que je m’occupe d’autre chose que ta magnifique poitrine. Disant cela, il empoigna mon sein gauche et je ne pus retenir un gémissement de plaisir. — Oui, mais voilà, je n’ai gagné qu’un baiser. Il parlait trop, je pris sa tête entre mes mains et l’embrassai passionnément et profondément. C’était libératoire. Enfin. Mon désir et mon plaisir montèrent d’un cran immédiatement. Sa langue se mélangeait à la mienne dans un ballet délicieux. Effectivement il embrassait bien. Pendant notre baiser, il me prit fermement la main et la baissa jusqu’à… mon string. Il voulait que je me caresse. Il savait que j’en avais envie depuis un moment. C’était d’une perversion terrible, surtout avec Bertrand qui était en train de nous regarder à deux mètres de là, mais encore une fois j’obéis à cet homme. Mes doigts commencèrent ce ballet que je connaissais si bien et qui pouvait m’amener au plaisir en deux ou trois minutes. D’abord à travers le tissu puis rapidement ...
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