Bas les masques !
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
douche,
volupté,
pénétratio,
init,
aventure,
... début, je ne pigeais rien aux opérations, mais j’ai fini par capter. Trop tard ! Il m’avait trempée jusqu’au cou, sans se mouiller. Avec mon passé d’entraîneuse, j’étais pieds et poings liés. Alors, ça a empiré. Côté banque et côté… cul aussi. Comme je lui décoche une moue perplexe, Lilly se défend : — Non, pas si évident que tu le penses. En dehors du fait qu’il était plutôt moche, gros, gras, désagréable, il était complètement pervers, totalement à la masse ! Tant qu’il s’agissait de se balader sans soutif au bureau, de lui faire une petite gâterie, passe encore. Mais son truc à lui, c’est la soumission infantile. Il a une pièce quasi secrète dans son pavillon : une nurserie. T’imagine le topo, Monsieur aime se faire dorloter comme un bébé, promener en poussette, faire popo dans ses couches, et le reste ! Franchement, l’uro, c’est déjà pas vraiment ma tasse de thé, mais la scato-popo-bébé-SM, c’est vraiment pas mon truc ! Lui, DeLorean, il ne connaît que çà !— Ah, parce que c’est lui DeLorean, ton mari ! Non mais, eh ! Ton histoire ne tient pas la route. Pourquoi qu’il t’aurait épousée alors qu’il pouvait t’obliger à faire tout ce qu’il voulait… Lilly s’est redressée, tente d’en placer une, mais je suis trop énervé pour la laisser parler. — Ne me raconte pas d’histoires, on n’épouse pas sa maîtresse dominatrice si on y pas obligé ! D’autant que malgré tout, il pouvait craindre une réaction de jalousie, ou de dépit, de la part de son patron. C’était pas bon pour son job. ...
... Non, arrête, trouve autre chose, mais ne me prends pas pour une bille ! Profitant que je reprends mon souffle, Lilly s’explique : — C’est pas pour le cul qu’il m’a épousée. Et permets-moi de te dire que je m’en serais bien passé. Non, c’est pour ses petits trafics, à la banque. Comme Monsieur voulait rester OUT, il m’a tout mis sur le dos : jusqu’au transfert final aux Caïmans, il n’y avait que moi qui apparaissais dans ces transactions frauduleuses ; mais là-bas, c’est tout pour lui. Et comme nous sommes sous le régime de la séparation des biens, il pouvait toujours prétendre n’être au courant de rien, me faire porter le chapeau ! "Monsieur le Juge, l’enquête a montré que ma femme était prostituée avant de me rencontrer, je ne le savais pas, patati-patata !" Qu’aurait pesé ma parole contre la sienne. D’autant que son idée était de mettre le maximum d’argent à gauche, sans rien changer à son train de vie en attendant de filer, sans moi certainement.— Mouais, admettons… Et ça durait depuis combien de temps cette histoire ?— Huit mois, et il s’en était donné dix, avant de disparaître.— Ah oui, il te l’a dit ! Il a prévu de te laisser tomber, mais il te raconte ses plans ?— Non, il a toujours parlé d’un an. Douze mois, il insistait beaucoup au contraire sur cette durée, et c’est bien ce qui me rendait soupçonneuse. Alors, je l’ai surveillé, j’ai trouvé la date programmée de ses vacances et j’ai découvert ses contacts avec une agence de voyage. Ce radin a acheté son billet en début ...